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#1
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Un bouquin de poésie
Afin de n’omettre guère ton amour ‘’REINE’’. Du poète : Salim REGAMI, EL–HADJAR, ANNABA, ALGÉRIE. Dédicace : Pour tous Mes lecteurs ; Pour un amour qui est venu après une longue attente…. Que jamais je n’ai vécu… Jamais je n’étais convaincu… Vers les abris de ma REINE Ô mon lecteur ; Quand on n’avait vu une beauté fabuleuse comme celle de ma REINE Quand on ne trouve guère des confins aux expressions poétiques Quand l’amant ne tâche que pour dédicacer plus de son amour ; son cœur et son esprit et son âme à son amoureuse…. Ô mon lecteur ; Et après J’ai rêvé un beau jour d’être aimé, à plus forte raison d’être bienheureux à côté d’une femme enchanteresse, surtout qui met la réciprocité ou l’échange de : la compréhension, le respect, la confiance, et l’amour…et pourquoi pas d’être mon épouse si tu veux: REINE Et alors J’ai trouvé ma femme que je cherchais surnommée REINE Et là je viens aujourd’hui pour lui dédicacer un bon AÏD, à mon amour, ma passion, mes espoirs, et les amalgamer et les mêler avec ma background : c’est d’exercer une influence avec les antiquités, les cultures et les civilisations du monde entier,…de tous ceux ayant passé par-ci, par-là. Le poète : Salim REGAMI Pour mon amour'' REINE SABTI’’ Sous la nuit enveloppant l'univers; Sous les couleurs magnifiques et lumineuses des lunes, Sous les chouchous et brillants rayons des regards des reines, En chantant les chansons de la Reine des roses .... Donc; Nous avons passé du dehors au-dedans de ce considérable monde, nous avons vécu en tant que des enfants et peu à peu nous avons grandi ailleurs, ou comme si dans la bibliothèque ou librairie de l'école du stylo et du carnet; de notre vie au quotidien perpétuellement j’essaye de bien contempler, et de faire des emplettes de ses maximes et de comprendre et là que nous avons bien conçu que les anges de la destinée nous convient a plus forte raison à connaître, à la fois la joie et le bonheur sont les suivantes: la réunion ou plutôt de la nomination d'ardent ou passionnant amour qui est à mon avis qui correspond de la poésie Par conséquent, comme toujours, à la rigueur, je vous offre ces œuvres poétiques pour souhaiter un bon voyage avec ma poésie même pour vous et les vôtres .... Le poète : Salim REGAMI J’ai un rêve D’un horizon gai comme le jeu Comme les flots de la mer et ses aveux Comme l’amour et ses enjeux Comme et que la lune s’installe afin de continuer Comme un vol des rossignoles sur les citadelles Passant par des étroits ravins Mais…quoi Quelqu’un qui se réveille sur la plage Bleu du ciel comme merveille Sur le quai de la vie resté bouche bée Il rêve d’elle, parle d’elle, se sauve d’elle A tort et à travers Il cour dans l’univers Pour accolader sa fraîcheur Il n’a guère l’audace pour finir cet amour … O le jour se lève encore Laisse nous satisfaire dans notre amour Que le malheur est obscur Leur continuité passe dans un mauvais corridor C’est l’achèvement du discours Et qu’il reste de rebeller en amour Sinon qu’il signifie la mort…. L’autre femme de Socrate… Entre les embrasa des forces des monts Dans les mers, et les gigantesques flux Enchevêtrement les mystères du monde, Dans une nature dégoute la charade, De là, la créature débute de lire la feuille de sa pensée C’est empêtrement joli, qu’avec l’écriture sainte a réfléchi Et avec la gaieté des galas de NOËL a enrichi Est un désir chancelle entre les yeux et les mamelles D’une fille très belle Sa beauté, un océan rebellé Sur ses flots où concurrent les gazelles Porteuse des épîtres vers les squares des amoureux Alors ; Rien à faire surtout qu’elle tiendra debout, A cause d’un bon, mal songe, Mais elle va s’absenter d’un beau mariage Pourquoi ? Il la glissa sur son ‘’street’’ pourtant Sa femme est derrière la porte Elle n’a pas tenu en considération d’où Elle est survenue que…selon sa pensée Donc ; Elle le quitta afin de bien penser…… Un poème en prose ; LA LIBERTÉ En tenant compte que Béni-Sallo, Une forteresse dans sa suprême fable, Voilà que ses images se sont avérées Aux miroirs des sables d’or d’HIPPONE, Le voilà étant en marche, Des enjambées en tout droit, L’histoire de ceux ayant passé par ici, Elle a été approchée à lui : C’est la réalité, dans le coran, a été découverte, Dans les fonds des antres et des mers, Célèbre depuis l’aube du temps, N’a aucun terme précis ou concis, Connue chez toutes les nations ; Attache-toi au fil de la clarté, Abolish’’ le black-out’’, à plus forte raison ‘the darkness or the gloom’ De cavernes Assume les gigantesques désirs afin de passer de dedans au-dehors de La nature de l’injustice Sois uni avec l’univers, Et délaisser ‘the disorder’, Et parler les airs des volatiles, Et s’affranchir de rester constamment chez les cimetières, Et à plus forte raison tel un aède d’une ensorceleuse,..... *le bisou de mon amoureuse REINE* ‘’La jeune fille de la beauté surnaturelle’’ Sous les ombres de ce soleil là Elle Apparaît..., s’élève D’une beauté ensorceleuse En portant l’habillement de la déesse de rose Les arbres épuisent ou ils drainent Afin de S’abaisser et affaisser Les roses colorent par la musique jeune Les pâturages bleuis, et Ensuite, ils sont devenus comme une mer Et dans cet état échéant, Je m’ai été abimé en Sa beauté fabuleuse Une graine de pistache À la berge d’une mer Amant,...je suis un amoureux ; Je m’ébranle ...et puis je m’enfuis jusqu’ici, Ensuite, Je goûte et je remplis de sa mer. Sous les ombres de ce soleil là Bijoutier ; Diamant...corail...et pierre précieuse Je me dégourdis, et puis je choisis Un diamant Et la nuit dominante Et dans le bisou les obstacles gâchent et Les portes sont ouvertes Le poème désobéit Idem ; La rime se dresse Et dans le bisou Nous avons achevé Sous les ombres de ce soleil là Dans le trône je l’ai trouvé Une reine est couronnée dans son royaume Ses charmes m’extorquent Et ses cheveux me chatouillent Comme Un tapis d’été a été annihilé Par le bleu de la mer A été offensé par les vents des hauteurs Des monts du LIBAN, Puis Il était mouvementé, et vagué Et Le bisou était d’elle De ces lèvres délicates et douces Les flots de *Lītāni* Ou les flux de son élixir affluent Et Les flots de la méditerranée concourent Je distrais...elle est alléchante Et Affriolante plus que le jus quasi du miel d’abeille Sous les ombres de soleil là Sur les pâturages J’ai dansé avec mon amoureuse La lune est aveugle..... Et la nuit est calme Et Dans les bicoques de poésie le rendez-vous a été fixé Et par le feu de tison a été le bisou d’elle Sur la musique du feu....et la confusion des couleurs J’ai mêlé mon âme avec elle Et puis Etait-ce bisou d’elle. Le couple de deux jeunes Canaris La nuit a couvert le large univers Telle une amplitude de l’esprit des airs Dans les brousses des natures Vers l’une des cités de créatures Où je la trouvai, une belle canarie Souffre et crie Elle blessa dans ses charmes Elle blessa dans son âme Elle blessa dans sa mélodie de forme flamme Une voix venue de l’orient Ses devises démesurant à travers les continents Sa voix poussant autour d’elle mes sentiments Quand elle vole, c’est comme la gazelle Marche sur les nuages du ciel Une jeune canarie Créa l’ambiance par ses douces danses…. En revanche Elle se tint debout sans chances D’affranchir son amoureux le jeune canari poète sans qu’elle pense…. Ma jouvencelle…telle la Blanche-Neige Les fables s’accoutumèrent Les anges aimèrent Les augures pour l’amour dérivèrent Pour son départ vers les anges des beaux-arts Dans les cavernes entretenaient avec les nuits Narrèrent de leurs contenus D’une jeune fille qui a perdu sa bague entre Les lignes de mes vers A guéri par mes merveilles Une abnégation pour ses yeux gris Ils brillent comme ils sont enchâssés Par le brouhaha de la barbarie Ou elle était émerveillée par la jalousie de la diablerie Ma jeune fille fût en butte d’une male-songerie Celle est la sorcellerie des miroirs ciblés Autour de ma blanche-neige Martin Luther King On dit, On considère Telles des fatalités allèrent, Selon leurs songes Comme une rêverie n’est guère de mensonges… Telles des clartés jonchèrent, Sur les arènes des partages, Telles des originalités déployèrent, Sur les monuments du courage, Telles des gloires dominèrent le créateur, Telle l’éternité…. Afin d’être avec la créature en unité, Qui a récité les prières, Pareil à un ascète ou pieux, C’est aller en glorification de Dieu, Le tout Clément, le Miséricordieux, Qu’il narra à ses descendants en vers des belles histoires, Y étaient d’astreindre Qui tricota sur les fibres du temps à perdre Entre le blanc et le nègre, Vers d’entreprendre ces souvenirs aux contes, Réciproques ou transférés en propres mains des pauvres avant des comtes, Pour être avec l’une d’eux des parodies des univers, Dont, Un homme et une femme Qui sont… Des esclaves surnaturels Consolidés par l’Évangile Ils ont aperçu la lune diurne, Et par les Cobras malmenèrent, Guidèrent vers les déserts, C’est une maltraitance berbère, Abaissèrent au fond des mers, Soufrèrent…regrettèrent, au Dieu demandèrent… Et à lui levèrent leurs anathèmes, Sois prudent… sois tolérant N’entends pas Vas à départir pas-à-pas Ecris un poème Amateur dans toutes les ères Sois un amoureux de la nature Que tu ensemences les germes des roses Et d’elles on extrait les réalités et les rêves vis avec la lumière des anges Pour que tu sois détruit par l’échange de haute envergure Sois libre Embrasse l’esprit céleste Adhère en convoi libre…… Que porte la nuit… Ô la nuit, quel bonheur Tu couvres l’univers à travers Ta foncée couverture On dirait que tu es une Reine des créatures C’est un lien entre les fantômes d’ALÈS C’est un lien entre les fantasmes d’ÉPHÈSE C’est une mutualité des sentiments et de poésie Etait comme un grand amour Cependant était au bord de la mort Ô ÉROS Offre-moi un château d’or dominant des maximes entre les communs Ou un jugement entre les êtres humains Car ta couleur gagna la nature et que la joie va sortir de nos cœurs Pêcha par une fille de beauté splendide C’est qu’elle offerte par Aphrodite D’emblée qu’un baiser de chères lèvres Ecailla comme une fleur Eblouit ses yeux par la nuit et sa couleur Alors Mon amoureuse vit sa jeunesse Qu’avec tendresse Comme une princesse dans ma belle forteresse Que je suis son poète sans faute. Récits de l’amour, En récitant le contenu ....des pages des bouquins favoris des histoires d’amours ; a monté à bord des paragraphes avivant... Continue ... ! Les jours magnifiques ont été en butte de la gêne ou de retard ou d’arrêt pour joncher ses retouches sur le futur venant A l’accoutumée, était en face de ce terme selon des divers temps ou simplement par intervalles Voici entre ! L’est et l’ouest Le nord et le sud Il ne trouve pas son amour…c’est pourquoi… Il est en oraison funèbre Il s’emploie à découvrir son aléa Un contemplant un gobelet inversé Quel augure…quel oracle… Entends ton fond Identifies-toi à lui Tu le trouveras à côté de toi Alors! Il l’a vu semblable à son ombre Une jouvencelle dont, Ses cheveux sont colorés par l’essence des couleurs des joyaux Devenus stables, jolis : c’est grâce à l’esprit du royaume des roses Il te prend avec les chardonnerets vers les larges espaces Frais, flexibles, fermes comme les branches du ‘CÈDRE’ Ses yeux ...c’est pareil à des anges éblouissants, ébahissant en soirée d’un AÏD Et là où les récits d’amours devenus son théâtre Sans oublier, son entretien ayant été en air vers le cœur où j’ai maintenu mes vers Donc ; Ma jeune fille de’’ beauté sauvage’’ Veuillez agréer mon bisou à votre délicate joue Où tous les cosmos vastes des sentiments sont réunis Où couramment je suis à vous un amant Tout simplement je t’aime ma fleur…. Je ne sais plus ni d’où on va aboutir dans l’amour, ni comment aboutir, or je sais où je vais commencer, d’où je débute par l’expression ‘’je t’aime mon amoureuse comme si je te donne mon cœur en sacrifice’’…. Une des fantastiques allocutions, des gigantesques sensations, des caractéristiques des dictionnaires de la communication entre les amoureux…. Existantes à l’apogée du volcan d’HOGGAR, pour que nous vivions et mourions à la même heure ; ce n’est guère au hasard où mon amour s’avive et s’avère comme si des conjoints dans un concert….en t’étant offert idem tel un tableau au cœur de la nature…dessiné par les plumes de la destinée ….celle-ci a des yeux gris qui attirent mon regard, sans omettre ses lèvres en couleurs claires chancellent avec toute brises de l’air et moi un oiseau baladant en tous les ères… Mon amoureuse …. Laisse-moi un endroit dans ton cœur afin que tu concrétises mon espoir d’être mon épouse… Et puis prends un stylo et appose ton bisou sur mon carnet de poésie…. Un poème d’amour pour REINE….. On dit, Elle s’avéra, arriva, comme une colossale germe de l’amour dans cet univers ; à ALLAH qu’elle pria….alors elle est REINE l’énigme de mes mains…. Elle s’allongea et avec un jeune poète, elle partagea…et avec elle, il discute et pour elle son poème de l’amour chante…comme une pièce de théâtre charmante, ou un printemps d’année fleurissante….que les yeux de son amoureuse prennent part comme un fragment de pierre précieuse dans l’art rare…comportent les mers et les déserts…et pour elle les portes de PLATON frappèrent….tu es trop belle REINE et tout simplement en avance dans le bonheur à pas de géant…et pour toi que les descriptions dominant….. Mon amoureuse… REINE … Donne-moi un peu de ta bière andalouse n’existe que dans ton paradis….dans tes douces lèvres….. Merci…. Une lettre dans un poème Sur le quai du destin , les lettres se balancent et ainsi elles s’aperçoivent comme des chancelantes, se sont ingéniées par la beauté, ne sont plus fortes que pour accéder à l’âme des amants, que pour surmonter les sagesses et les secrets des missives d’amour, portées aux cœurs des pigeons , dans des couronnes sur des têtes des charmantes, dans un bisou à la joue d’une affriolante , elles se précipitent de son monde mystère dans des mots de passion des grâces de Dieu, je les dédicace à mon amoureuse en agréable jour, pour une longue marche, afin de prendre une route non-dénommée que par les noms et synonymes de l’amour, celle que je vois comme une merveille couronnée dans le monument de ‘’RIADH EL-FATH’’ une martyre de l’amour, et à elle j’ouvre mes bras, où je l’attache ou je la joins à mon cœur ,celle qui relève son sein comme le lever des cornes des gazelles de bas vers le ciel, et à elle que j’abandonne mon état c’est comme ‘’ ÉROS’’ qui m’ a donné tous les rêves de toutes les enchanteresses. Mon amoureuse voilà un rouge des couleurs du spectre et puis dessinez-le comme une écharpe à tes épaules afin que je ne vous néglige guère et à jamais à tout dans une lettre dans un poème. Une transition longue…pour un voyage dur… A vrai dire… Qu’il passa de dehors au-dedans de ce vaste univers, Qu’il écrit selon les meilleurs chapitres, Qu’il plonge, à plus forte raison se noya au sillage de l’art obscur, Qu’il chanta de la douleur, Qu’il marcha à l’aventure, Qu’il se mit au vert, Dans un bouchon n’est pas à servir ou à ouvrir, Dans ce chemin, je le trouvai comme une sentinelle, Banda ses yeux tel un aveugle, Envahit par une vague de fugue de fait vague, C’est le seul, le destin lui se concrétisa comme un dessin à travers, Une plume nègre, sur un fleuve sanguin, C’est le sang de son cœur ouvert grâce à la majesté des malheurs, Je le vois prendre le train d’accrochage entre la vie et la mort, Pour un long départ, Que ceci n’est plus au hasard, Sans faire ses adieux à ces bouteilles et ces verts, Celles et ceux qui lui narrèrent, Que les bonheurs, Pour aller antipodes, Qui t’a dit…. Que les dons de Dieu pour lui vont réaliser, C’est que les satanes de poésie disent… Entendre… Elle va le délaisser… Comme elle a affaissé tous étaient passé d’ici et d’ailleurs, Or, il aime cette avenue des prochains souvenirs, N’inquiète pas, il va survenir, Alors ; Il va se convaincre que son voyage une sans faute une erreur… Pigeon perdu…. Il est perdu entre les ruisseaux et la verdure S’abreuve des délicats abreuvoirs Se nourrit des fantastiques airs Il aima la vie et que cette dernière Résida au fond de l’univers Son amour, fût sincère Exporta du cœur Attendre… visa par son prédateur Fut tel un cauchemar Fut toujours le destin nous cherche Et la vie constamment marque sa touche Dans le bonheur et le malheur Dans l’attachement et l’écartement Dans le dell est le Farewell…. HOMMAGE à MON AMOUR *REINE* Les envergures des mondes sont déjà diversifiées, idem les lunes restent de joncher les clartés, et mon cœur s’était attaché à la Reine des merveilleux astérisques. Ceux qui ensevelissent de leurs lumières vers les délicates joues de mon amoureuse ‘’REINE’’ afin que les créatures l’écoutent et qu’il cherche perpétuellement de comment réduire le trajet vers « REINE » pour voler avec les pigeons vers ce magnifique horizon qui existe uniquement au LIBAN. Jusqu’à l’ère d’HIPPONE et la PHÉNICIE. Vers le destin qui a fait unir nos cœurs. Jusqu’au bout dans l’amour de ‘’REINE’’. Alors, elle est ma jeune fille. D’un corps effilé et sachant que les oiseaux la hantent afin d’être beaux. Ses yeux du gris et que l’argent dédicacent sa couleur à ‘REINE’’, sans omettre sans faute ses cheveux marron. Alors, comme une feuille du sapin en jour d’aïd en accélérant, en volant pour stabiliser sur ses épaules comme un BURNOUS des ancêtres. Donc, elle marche dans le sillage des sages personnages dans le brouhaha des charmes et des finesses et tout simplement c’est ‘’REINE ‘entre la ZÉNOBIE et TÉNHINEINE HORIZON A cet horizon éloigné S’étant guéris par les maux pluviaux et solaires et torrides Par-ci où elle s’était tombée Précipitée par les flèches, les dards de la mort Sur un sable argenté croustillant, délicieux des plages d’HIPPONE Et les fantômes palpables et concrets crient comme des enivrés Ceux sont les saluts du ҪIVA Montant au bord d’une arche en marchant, plutôt en navigant sur une arche du Sidi M’Cid…. Sois rapide le temps presse... ; A son île, Son fief, Son patrimoine Étaient situés Il a mis son âme et son corps aux fers pour elle Agir, c’est votre esplanade et votre arène Parler, elle va t’aider Élucider, elle va t’entendre Être plongé dans l’obscurité : c’est pour elle Et pour elle, le contrejour est le titre d’affection éternelle Et un chemin surnaturel Faire vivre pour elle comme un ménestrel d’une belle... C’est une écriture…. Ils disent …. Quitte toute inquiétude Tu t’abandonnes à la lune splendide Apprends les versets du clément En tout moment Combattez La peur, la fraude Et préfère les cultures et les couleurs Prends un bateau de foi Et navigue entre les abimes au fonds des mers, Balade en fiction fructifère Comme le monarque contre la misère Et emploie-toi à faire une prière Afin de vivre toutes les ères….. À mon amoureuse REINE Je me suis soumis à la poésie, Sous l’effet du ZÉPHIR ; Je stationne à l’un des dômes de la nature ayant une belle devise ; Je médite une beauté qui a impressionné un poète de la première vue. Et au nom de la beauté, Il écrivait de la poésie Son amour écoulait dans mon cœur comme l’eau dans la cascade Lady ; Prêche- moi par un sourire………. Un sourire qui déchaine ma plume pour exprimer ce qui est dans mon cœur, qui lit les paroles de ma poésie qui dessine par les doigts des anges, et qui récite les noms des canaries, pour dédier ce jour à la beauté pour découvrir ma poésie. Et puis, je te rends éternelle dans mes les pages de ma vie Pour la suspendre sur les villages de théâtres, et les villes de la littérature Madame ; J’adore ta beauté y compris de tendresse ; Douceur, et sentiment …………. Ta beauté a pris le poète à des millénaires de passé, aux légendes des grecs et des romains. Elle était une messagère des dieux de la poésie et de la beauté. Je lui envoie avec les oiseaux des rêves et d’imagination, qui ont augmenté son élégance et son équilibre ……… Pour lui prendre dans cet horizon lointain où ils ont publié leurs lettres. Une lettre d’amour, que je recevais en mon imagination comme quelqu’un qui éclaire ma vie …… Elle tombe comme les gouttes de rosée sur les parois de mon cœur qui adoucit à elle Elle m’a flashé par la brillance de ses yeux, que je l’ai imaginée comme illumination de mes poèmes L’artisto Le peintre exerce une influence sur son tableau ……. Le sculpteur exerce une influence sur sa statue …… Le compositeur exerce une influence sur sa musique …… Alors, moi, je m’adresse à ton amour ……. Ses yeux ont soulevé mon âme ….. Ses flèches ont percé ma poitrine ….. Le muézin annonce que la littérature est levée……. Je me précipite vers le mihrab pour prier et appeler dieu de la poésie ………. Plus d’encre……… Je crains que ………..se termine …… et je termine bien que les lettres d’amour à Reine, ne sont pas encore terminées…….écoute ………… Je vais entrer avec toi dans une nouvelle ère Madame,……. J’erre ……dans le brouillard, et je dessine ton beau visage sur ma paume …………. Reine …….je t’aime, et mon cœur est témoin. Si la beauté est comme les saisons, Tu es la beauté et les saisons, et chez-toi, Les histoires de mes vers sont divers……… Que je les mène à la lune …… O lune ; tu étais la lumière pour l’amour et les amoureux, tu illuminais les poèmes d’amour, tu te reposes Je regarde la vie …………..avec des yeux comme les étoiles du ciel……..elle était mieux claire, Puis, j’ai envoyé ma poésie sur une vague de nuages, qu’elle était … Au la légende de la poésie …et la légende de nature. Elle pose sa beauté sur mon âme, et elle est devenue la rime de ma vie, dans ce moment O mon âme! Ne t’inquiète pas, elle est une dame que je n’ai pas trouvé dans les règnes des gothiques ni dans les poésies des romaines ou de « HOMÈRE »ou « VIRGILE »…..ni, aussi dans les temples des hindous………. Mais je l’ai trouvée à côté de moi comme une reine et j’étais son poète …….. Eh! Les dieux de la poésie au-delà l’étoile peut vivre ………. Au-delà…………….. Et, au-delà on dessine l’un des tableaux de la nature. « Reine » et EROSTRATE L’écroulement des bâtiments des tribus passé par-ci par-là ; Alors qu’elles sont chancelées, Afin d’étaler de leurs mystères, De peur de la malédiction des mythes, Des jours, à la suite ………. Fruite en avant, Puis, avancement… Voici, ses entités qui ont manifesté sur les portes des temples …………… Le voilà avec sa tristesse Il ouvre ses yeux sur ces ruines Il inculque le feu sur ces endroits Il transcende en termes de nostalgie ……. Il transcende en termes de l’amour Le voilà, il paye toujours le dommage de dimension Il voit un monde étrange …………… Qui le met loin de son rêve ………. Qui ignore sa légende……… Qui s’adonne à son injustice Réponds …………… parle ………..exprime –toi …….. Amène –moi à ton imagination …… Et je vais t’amener comme une rose des bosquets du paradis Et grâce à toi, les chants et les sons sont variés ……….. « Reine » Aimez-moi vers le haut de L’EDOUGH Je t’amène aux vers Je t‘intègre aux lignes de la poésie ……… Je te fais ……… rime et caractère Et grâce toi, je suis classé un poète ………….. Qu’est-ce que tout cela mon ami!!? C’est tu l’as vue ………… Tu te sens comme si tu étais devant un tableau sur naturel, des jours de tristesse et de la misère. De ses yeux …Les étoiles et les lunes seront générées ………. Et de gris, elle a fabriqué l’encre argentée de mon stylo Et de sa bouche, on a pris les légendes primitives………. Et les histoires des anciens ont été établies « Reine » Rien de mal à t’aimer ……. Rien de mal quand tu m’aimes ……. Mais le désespoir c’est quand tu me laisses… J’avais besoin d’un baiser d’elle Il m’a rassemblé comme je touche son corps Mon amour Comme un bébé Afin que je me sens que ta tendresse cercle dans mon corps Mon amour ; Tu étais cette sirène Tu étais cette femme imaginaire Aime –moi Rend moi sur tes cheveux Des yeux du gris Par les expressions de l’amour Aimez-moi, dans la révolution d’un mot Dans tout le monde est ……. Pour l’écrire Non…… ne jamais partir ………écoute- moi Puisque tous mes poèmes sont dédiés à toi Reine ; Dans les ruines d’Hippone Que ma pensée s’est épousée avec Les aromes du monde ancien Je l’ai vue dans un beau rêve La reine de SIDON …………… sur les volcans d’amour de mon cœur …………. Je l’ai vue, elle n’est pas comme d’habitude Elle est couverte par un nuage blanc Et sa couronne est sur sa tête O mon ami ; Elle est une couronne de ses roses Elle chante sur les sonores des meilleures symphonies Elle était la plus belle des reines Voir!! L’air de l’une des matinées du printemps souffle Pour que ses cheveux gris battent Comme les vagues et les murs de mon cœur………. Et il couvrit la terre par les fleurs Et que les oiseaux l’adorent O mon amour ; Aimez-moi Je vais te dessiner comme une rose d’été Qu’elle est …… entre les rayons du soleil Qu’elle est ………… sur le front d’apollon Que les gens ………. Mon amour J’ai besoin de t’embrasser, un baiser Pendu sur les murs Comme la vierge marie Ou un tatouage sur mon cœur Ou comme une chandelle Je la porte dans un jardin fleuri Dans l’une des nuits de cet hiver éternel Mon amour, Au nom de l’amour Que je me sens avec toi Détend –toi Et règne sur le trône de mon cœur Détache avec tes mains Ses clôtures …. Et lis –moi Quelque chose de tes mémoires, Je m’imagine dans tes bras Au sein d’une femme Qui a une beauté Qui a rendu les magiciens du pharaon Muets, et les bras croisés Mon amour! Tu es comme un rire d’un petit enfant, Agitant ses mains Pour l’illumination du monde Qui a commencé à le connaitre récemment Aimez-moi Prends-moi à ton monde Je vais dessiner de mes poèmes L’un des tableaux du destin Qui nous ont réunis C’est une histoire Qui elle ne veut pas être terminée mon amour Vision………….. Dans une des nuits D’un hiver chaud Je ferme les yeux Et, je me vois dans des rêves Comme les enfants Avec l’âme d’Aphrodite Je vole dans le fantasme du ciel Avec ton charme, Aphrodite! Je vous rappelle, et je vous en prie Pour mon amour Je suis perdu dans les trajets De la nature de la beauté Cherchant une femme Que je vois dans mes rêves Je l’ai vue Sur les sables du tassili Elle se promenait …… et marchait Laissant derrière elle des traces, Pour tous les esclaves de la beauté qui adorent la beauté Et, elle dessine par le sang de mon cœur Des peintures murales sur le Hoggar O mon âme, soupire Car tu ne vois pas cet ange avant Je l’ai vue Elle soupire avec ses seins Comme les bois de cerfs de l’eau Elle était dans une nuit mystérieuse Illuminée par deux lampes Elles sont deux yeux gris Leur beauté distille Comme les gouttes d’eau des roses Dans l’obscurité Qui a envahi l’espace Au-delà de la lune J’ai rêvé d’elle Je la regarde Et, je savoure devin de ses lèvres Je caresse son âme J’inspire sa brise Et nos comportements Dans cette rencontre ont frappé les fables ou Les légendes des amateurs Des rêves passés avant nous O Aphrodite Dans sa vision Elles ont ouvert les fenêtres de l’univers Par une musique douce Que je vois portée Sur les pattes des anges Elle récite les paroles de mon poème Sur les cordes d’un violoncelle d’or O, Aphrodite, Ceci est mon amour Et voilà ma vision « C’est …. Reine » Je ne sais pas où je vais terminer Et comment je vais terminer Mais, Mon amour Je sais d’où je vais commencer Je vais commencer par ce mot « je t’aime » Parmi les plus belles expressions De l’innocence des sentiments Parmi les plus belles paroles Dans le dictionnaire Qui sont trouvées, Sur le sommet du volcan Vésuve Pour mourir et vivre à la fois Ou mon amour devient De plus en plus rebellé Et, il éclate dans un baiser Dédié à toi Les misérables Ils marchèrent…aux enjambées dures…dans un long parcours… Ils tombèrent dans le désespoir, Que ceux sont obscurs, Ils ont des yeux nus, ou détenus du site, Et des cannes détruites, Ils ne quêtèrent jamais à connaître, Et que les histoires furent aigres, Et que ces dernières s’employèrent que pour les dédier aux tortures…. La misère les censure sur cette terre…. Ils baladèrent aux boulevards De l’inquiétude et les cauchemars ; Ils pleurèrent à cause des leurs sorts… Attends Une flache de lumière vient de dehors, La voix du muezzin se lève, La cloche sonne, La trompette s’exécute, Voyez-vous, Aucune personne n’écoute, Aucune personne ne croit, Aucune personne ne se concentre, Ils furent, les mesquins de cette ère, Ils furent joués par l’univers non-clair, Ils furent une goguenardise à la portée des gladiateurs, Or… Et qu’Il ne s’agit de personne eu égard aux les mettre en son humeur… Un esprit souffre…puis qu’il souffle… Sur le tison du feu, il s’installe, Lève ses mains vers le ciel, Un mirage d’oasis au Sahara qui brûle, S’impressionne en des récits des précédents siècles, Promenade aux banlieues urbaines et rurales, D’autant plus, URBI et ORBI ; C’est avec tous les genres humains, Personne ne lui connaît, Personne ne lui vient, Il entretient une langue qui est difficile à comprendre, Malgré, Ils se sont employés à elle sans savoir… Les gens et desquels regrets... Désorientés …occupés… … distraits Ses sois mêmes pour l’accepter…et puis pour l’adapter … Au dire de certain monde… Une fosse profonde… Ample des ténèbres où ici les vies des êtres existèrent… Idem, où là tous les beaux univers rassemblèrent…. L’amour…où ma muse dans les broussailles du REINE…. Les arbres des équinoxes chancelèrent… Et avec les sons de l’automne composèrent… Et ainsi de suite avec l’hiver… Poussèrent les chardonnerets pour qu’ils chantent… Telle une mélodie de la cloche de Notre-Dame… Vers ces beaux âges... Où il captive les mots de l’amour et avec elle, Il partage… Comme l’être qui vole entre la terre et le ciel… Il dit... Vient à moi,…une feuille du jujubier vierge, Nue des mauvais songes…tels le nuage… Vient,…afin que je te dessine entre les cèdres et les sapins… Et que je te prenne des portées du clergyman... Et je te lèverai, et puis je t’affaisserai pour un bisou à Aulnay… Chez une lune ne dégoûte jamais de frauder la lumière du soleil… Portant dans ma poche une musique des merveilles… Afin de te sculpter l’une des colonnes de BAALBEK… Vient… Pour que tu sois…pour que tu vives…comme si éternelle…selon le Pain de sucre… Une chanson exceptionnelle sur le théâtre d’ÉPIDAURE … Où tu ne serais guère au dehors de mon cœur… Ô mon amoureuse… J’ai fait un beau songe…à travers un ardent amour… Que nos cœurs prennent le même part dans l’amour… « Les pyramides ….MAYA…et …PHARAONS … !» Aussi bien que je cours avec les chevaux…pour gagner ton amour… Sans avoir le dessous…son essence comporte une ligne de poème d’amour… REINE… Offre moi un baiser…c’est une couronne à ma poésie… Une phrase …dans...Un carnet favori…. Avec les soucis que la vie a discuté… Avec la dignité des ères a argumenté… Avec la gloire des écritures célestes a récité… C’est une page, elle-même souffre… Pour la scruter dans son bouquin qu’elle préfère… Ce n’est guère …qu’un savoir-vivre avec l’amour de REINE… Par les maux des êtres, les contes, les paraboles, bref les ancêtres… Sur les quais des beaux-arts… Ce livre est ouvert… De la bibliothèque des combats qui le désespère… Qu’il est pris et avec un ancre gris…. Ce bouquin était écrit… Pour humer les goûtes sombres… Ceci est dû à l’écartement de sa jolie phrase… Qu’elle est encore évoquée dans son livre… Singulièrement aux heureux moments du nègre… Selon les prestigieux hivers… Oui, qu’ils vont dire, C’est une locution célèbre, Laquelle : « REINE….rejoins-moi …c’est fortement que je t’adore… » Parmi des dons… Ils sont venus en ce monde extraordinaire... Une planche d’artiste peintre… Cossu par les couleurs… Une vie vacante des images de la verdure… Comme un bisou à la tête de la vierge… Comme une salutation du clergé… Comme un cher fils apparait à ses songes ; Volez par vos ailes…offerts par Allah… Telles clartés illuminent ton intervalle Que je vous partage… En ciel dont une lune sauvage Et des étoiles dispersent leurs maux… Idem ; Mes chéris, soyez cléments vers vous, comme si vous vous brisez avec l’air… Une feuille d’arbre d’olive envahie par la mélodieuse douceur… Et puis… Les stratus aiment la terre… Juste pour qu’ils offrent des eaux rares… Même si ils occupent ses demeures… Dans les coulisses…. Aux bords des bouts… Ils s’assirent …à l’attendant… Plutôt, attendirent…. Tels …désorientés…distraits… regardèrent….et… Prévirent leurs désirs … Ils ne surent plus ce qu’ils les attendirent ; Même celle-ci… Ils l’imaginèrent comme elle toujours unitaire ; Les signes de Dieu l’approchèrent… Si qu’elle fut au labour perpétuellement … Que c’en est assez, elle fut dominant… A travers tous les jardins … Elle fut promenant…. Afin d’amasser, de produire de son corps des diverses bières… Si tu les bois, tu guériras…. Des fardeaux de Dieu. Pourtant une chère mort est plus que cette existence… C’est au dire de cet être majeur… Le violent… Selon les ambiances passives… Selon les abondances affectives… Selon les musiques fictives… rare dans son ère… Dans les performances festives, ainsi que la renaissance … Une Influence par son fabricateur… Le monde dort, or elle éveille… A la recherche d’une part dans le cœur ; Captive…vas-y… Et renonce à tous les désordres… Abdique-toi … A la couleur du roux feu… Lis… L’une des prodiges de Dieu… Et récite un dit que tu partages… Ecris sur le port des rebellions … Comme le combat des trahisons… Départ avec la fiction telle une expression des poésies… Une perle ; Aux îles de la fiction, son fief était là, avec la mer il a discuté en feuilletant le coran en imaginant le pouvoir de Dieu dans ce vaste univers en narrant aux créatures les histoires des ancêtres c’est une perle abîmée dans la mer et que Son brillant éblouis Les fables des navigateurs Cherchant de la beauté éternelle Elle récite ses romanceros Au théâtre de CARTHAGO Un beau jour, Elle a aimé, Alors, Son clarté, ses charmes, son aimant, sont devenus plus forts pourtant ; Ô mer, garder tes flots afin qu’ils n’agacent pas les âmes, et tuent les cœurs, Cependant, les vagues restent festoyer et puis ce fut le bateau est abîmé et le point final de sa vie est mis. Le sommaire TITRE page Dédicace 01 Pour mon amour REINE 02 J’ai un rêve 04 L’autre femme de Socrate 05 La liberté 06 Le bisou de mon amoureuse REINE 07 Le couple de deux jeunes canaris 09 Ma jouvencelle … telle la blanche neige 10 Martin Luther King 11 Que porte la nuit 13 Récits de l’amour 14 Tout simplement je t’aime ma fleur… 15 Un poème d’amour pour Reine 16 Une lettre dans un poème 17 Une transition longue…pour un voyage dur 18 Pigeon perdu 20 Hommage à mon amour à Reine 21 Horizon 22 C’est une écriture 23 A mon amoureuse REINE 24 L’artisto 26 REINE et EROSTRATE 28 Le bateau de mon amour 30 J’avais besoin d’un bisou d’elle 32 REINE 33 Vision 36 Je l’ai vue 37 C’est …REINE 39 Les misérables 40 L’amour…où ma muse dans les broussailles de Reine 42 Un esprit souffre …puis qu’il souffle 43 Une phrase… dans …un carnet favori 44 Parmi des dons 45 Dans les coulisses 46 le violent 47 Une perle 48 Le sommaire 49 Un mot visé à ma reine ---Reine Sabti--- ** En déployant sur les sables de la vie, en unissant avec l’univers, les colossaux envies et désirs pour sortir de la nature. Recherche de la vérité et recherché pour lui…dans les cavernes des ancêtres, dans les profondeurs des mers, dans les oasis rares… Invariable, instable pareille à la rose des déserts ; Soit prudents ! En ne considérant guère et à jamais qu’il y ait des barricades bleues ou rousses aux lettres afin d’aimer et vivre… Alors ; En combattant la peur, En trahissant le désespoir, En accompagnant les oiseaux et leurs airs, En prenant en angle d’amour, En effaçant les endroits de l’horreur ; Et en nous acheminant vers le bonheur. ** |
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