Un assortiment de poèmes traduits en français avec des poètes du monde

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  • الشاعرالمترجم سليم رقامي
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    • Oct 2016
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    Un assortiment de poèmes traduits en français avec des poètes du monde

    GENRE DE LIVRE /
    Un assortiment des poèmes traduits en français auprès des poètes mondiaux.
    TITRE DU LIVRE /
    Aux abris de ma Reine où je vis.

    PRÉFACE

    L’homme est définit par son entendement, ce dernier est une altesse dans le monde de la créativité, de l’innovation, alors mon lecteur n’es pas en littérature et ses filles, donc l’une de ses filles est la traduction où elle n’est guère une transmission des mots en mots différents en écriture ou conjugaison ou grammaire par contre elle est constituée sur la base de créer une autre vie d’une personne dans une autre en épanouissant sur tout étant beau et merveilleux…et ça avant de vous sentir à plus forte raison de vous porter mon lecteur au cœur de la traduction
    Il faut d’abord de vous amener la sensation amalgamée et mêlée par l’esprit de traducteur avec le poète de texte original…

    Alors mon lecteur on vient à l’autre fille de littérature ayant une meilleure corrélation avec la traduction c’est :
    La poésie,

    On la distingue par la parabole de Taoufiq AL-HAKIM…

    La poésie un miroir de la vie ; où le poète voit son âme et son esprit, alors que le poète est une lune qui ne nous donne guère la vie en sa brûlure, au temps de sa clarté comblant les yeux, par contre il attire un peu de ses rayons et les filtrer à travers lui-même …
    Ensuite, il les expose et les distribue telle une splendide lueur, bien arrangée, agencée, aisée pour les yeux, approfondie, un entendement ; camarade pour un cœur solitaire…

    Elle joue un rôle très nécessaire pour monter au fur et mesure sur l’échelle de la bonne décision dans la vie alors que ses leaders sont passés par des circonstances et des essais
    Et là quand évoque Cicérone qui dit *Une maison sans livre, un homme sans carrière*…

    Si la poésie est écrite en langue d’origine lointaine de français…

    C’est-à-dire que son lecteur va l’importer à son esprit avec un sentiment d’un environnement pareil…que pensez-vous alors si ce texte étant plein de fantaisie, parfois d’un style direct, abstrait, ou d’inventer une fable miraculeuse dans notre présent et là où on peut rappeler Paul VALLERY *La poésie est une langue dans une autre*…sera écrit dans une autre façon dans une autre langue que vous l’aimeriez beaucoup…

    Je ne veux plus de vous quitter sans raconter une maxime littéraire : si les vers comme tout le monde savent qu’ils sont une réflexion, un raisonnement, je dirais qu’ils sont des sensations…

    Alors lire le bouquin et rendez-nous votre avis….

    Salutations distinguées du Poète-Traducteur Salim REGAMI.

    Merci.














    Un poème D’après LE POÈTE : PABLO NERUDA
    بابلو نيــــــــــــــــــــــــــرودا
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    Une promenade…

    On dirait, un être humain,
    Je sens que je suis en accablement,
    Si, je rentre dans une salle de cinéma,
    Dans un magasin couture,
    Je deviens comme un homme glacé, un statut dur…
    Ou comme un fait de courbature…
    Tel un canard, faisant une fêlure…
    Navigant aux sources, et cendres…
    L’odeur des airs…me répand au pleur…
    Je voudrais ajourner ma vue vers le coton et les pierres…
    Je voudrais écarter mon regard, en ne voyant guère ni les jardins, ni les organisations de nos jours…
    Les ascenseurs…les lunettes…les cargaisons…
    Je suis tombé en fatigue :
    A travers mes pieds…mes angles…mes cheveux…
    Et mon fantôme…
    Il par hasard…je suis un être vivant si bien que je sois en mal aise...
    ****


    La nature du jour…
    Son argile…sa flamme…son labour…
    Si tu n’as pas assujettis la gaieté de l’air…
    Et tu n’es plus semblable à une semaine des parfums et airs…
    Si tu n’es guère ce moment jeune, unitaire et jaune…
    Ou….
    Dans lequel, les varices extraient l’automne…
    Et le pain préparé par la parfumée lune…
    Lorsqu’il vole pareil à la semoule au ciel…
    O mon amoureuse…
    Pour quelle raison…a-tu-aimé…
    Dans votre serre, j’embrasse tout emblème d’amour….
    Le sable fin…l’ère jolie…la pluie fructifère…
    Et l’arbre…
    Et tout un être, vit pour que je sois vif et rare….
    Que je ne sois guère dans le besoin à une courbure pour percevoir et concevoir….
    Car…
    Tu seras le miroir des regards de mes poèmes…
    Si tu acquiers pour tes yeux les couleurs luminaires…

    ***



    Pour votre corps…je suis abîmé en brouillard…
    Ton silence ne cesse à gêner mes horloges sinistres…
    Et toi, des accolades des pierres claires…
    Où l’asile de mes verts désirs…
    Ainsi que le port de mes baisers…
    Oh !
    Ton bec …confus…obscur…bredouille…par l’amour…
    Devenu comme la courbure des sons et sens…et totale ruine en soir…
    Aux fonds des ères…aux fermes…
    J’ai vu les épis fléchissent avec les vents …
    En revanche…
    Ils hument l’arôme de ses lèvres….
    Ils jouissent par la douceur de ses lèvres…
    Ils versent son fumet dans les provinces de ses lèvres…








    Un poème D’après LE POÈTE : PABLO NERUDA
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    Vingtaine de poèmes d’amour et chanson de désespoir


    Le corps féminin…des collines…
    Candides…cuisses blêmes et limpides…
    Quant…je sens ta résignation dans mes accolades…
    Que tu te découpe tel tout le monde…
    Et mon comportement d’autant plus mon corps rural…et brutal…
    Furète dans ta Mapp corporelle étant tel des épisodes de série venante …
    Alors…un fruit mûr sort des profondeurs…du globe terrestre venu après une longue attente…









    Un poème D’après LE POÈTE américain : MILLER
    ميـــــــــــــــــــــــــللر
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    Une bûche à la recherche d’un verre…



    Je suis un tronc désert dans un vaste désert,
    Alors,
    Répand à ta majesté en amour….
    Et entend à la gaieté des airs…
    Et puis danse en plein jour…










    Un poème D’après LE POÈTE américain : MILLER
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    El Salvador…


    Par ici,
    Des doigts voltigeant comme où
    Les feuilles d’arbres surnageant un beau jour…
    Par ici,
    Des cafards vont jeûner mais après qu’ils
    Soient satisfaits de déjeuner des corps…
    Quand, on réalise le palabré accord…
    La terre sera pleine par les visages non pas par les trains funèbres…











    Un poème D’après LE POÈTE américain : MILLER
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    TCHE GUIVARA

    Rappelles-toi, le moment où stationnas-tu pour que tu aspires… ?
    Fut-il, le jour où décidas si tu ne dors ni tu ne mors guère… ?
    Si tu concevais que les zéphyrs ne quêtent pas à omettre… ?
    Alors…ce ci ton caractère autours de l’univers…














    Un poème D’après LE POÈTE américain : MILLER
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    La poésie est la pierre…
    Comme le flash danse aux milieux des expressions, qui adore
    J’essaye à écrire cinq fois au même jour…
    Et fur et mesures je m’oriente vers le sanctuaire…

















    Un poème D’après LE POÈTE américain : MILLER
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS


    Avec des yeux vacants
    Enlève sa brosse de bidon d’eau courant…
    D’ici et d’ailleurs…
    Les goûtes séparent…dans cet état échéant…
    Il arrange l’emplacement…..seulement…
    Au-dedans d’une salle d’hébergement…














    Un poème D’après LE POÈTE américain : MILLER
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    Admettons qu’est un envoûtement…
    Et d’être dénués par l’étonnement…
    Parce que cette trouvaille…
    C.-à-d. : un amour pareil …
    Que personne ne connut cette merveille…
















    Un poème D’après LE POÈTE : Sergio MACIAS
    ســـــــــــــــــــــــــرجيو ماسياس
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    Des promenades…


    Comme un poète…
    À provinces sahariennes vastes…
    Exécuta l’IMZADE de TASSILI qui chante sur les châteaux de sable …
    Ensemence les racines des jardins des héritages comme OTHMAN…
    Sculpte les arbres dont les oasis des PALMIERS …pour extraire la paix des noyaux des fruits mûrs…
    Et sous le parapluie…de nuit lunaire,…je t’attends …Ô la palme de l’amour….











    Un poème D’après LE POÈTE : Sergio MACIAS
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS




    Je voudrais être ….
    Une bruine de fleurs…
    Pour laver les joues d’aube sombre…
    Par des poèmes inspirés des fonds des cœurs…
    Que je trouvai sur ton visage…et sur les images des créatures…
    Et un scintillement sur tes jonchées lèvres…












    Un poème D’après LE POÈTE : Sergio MACIAS
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    Pas de raison


    N’avoir pas raison…!?
    Non de raison, afin de ne mourir pas ce jour…
    Qui accroît telle une larme de pluie d’hiver…
    Ou pour ensevelir en récitant des vers comme les bris des verres…
    Sur l’échine des nues…













    Un poème D’après LE POÈTE : Sergio MACIAS
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    Glorification




    Vers, l’inquiétude des fleurs…
    Se glorifia les émotions de fugitif canari…
    Vers, les feuilles des abris,
    Et mon âmes qui fouille en vers les contrées prodigieuses…
    Des fleurs mielleuses…











    Un poème D’après LE POÈTE : Sergio MACIAS
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    Une scène…




    L’aspect de la pluie vive…
    Avec les tempêtes agressives…
    Détruit les arbres d’olives…
    Et puis pérégrinerais derrière le train des vétustes expressives…












    Un poème D’après LE POÈTE : Sergio MACIAS
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    Une quantité pour la charger…





    Au golf des souffles francs …
    Le bateau des nuages blancs tel un peu de fromage…
    Aborde…à tort…partage…
    Et puis….
    Il charge les barils pleins sombres des sangs des martyrs…










    Un poème D’après LE POÈTE : ELIAS ABI CHABAKA
    اليــــــــــــــــــــــــاس ابي شبكة
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    Les mélodies des villages…





    Ô ère…
    Rétablir pour nous, ce que nous eûmes au Liban cher….
    Reconquérir pour nous, ce que nous eûmes des rêves et désirs…
    Le Liban….
    Qu’il y eut de l’éclaircissement de l’univers…
    Idem,
    De la conscience des prières et vêpres…
    De nos trésors chroniques …
    Et l’aise de nos feelings…
    De l’air pacifique …
    Et des coexistences furent comme si des fruits mûrs…

    Ô ère…

    Refaire ce que fut au Liban jeune…
    Réciter les airs de tes bourgs…

    Ô ère…
    Raconter….sans restrictions ….
    Si une bûche de cèdres souffre…
    Les trois pôles fléchiront….
    Si un théâtre, un forum se laissent aller…
    Toutes les créatures regretteront…
    Beyrouth et ses ennuis…
    Tous les univers alerteront….
    Bel et bien…
    La Phénicie fut, est, sera le paradis favoris….












    Un poème D’après LE POÈTE : SOULEIMAN EL-AÏSSA
    سليـــــــــــــــــــــــمان العيسى
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS


    C’est le sol de la terre de BÔNE…
    En l’amalgamant avec l’âme vive du martyr
    Avec les abats des sangs frumentaires…
    Colorisèrent mon hier, mon présent, mon futur…
    Les désirs déclament ….!
    Avive tes espoirs….
    Et que notre cher « mai »…
    Devenu avare que jamais…
    Ô les cris...obscurs…
    Par-là …..Les massacres et leurs évènements …
    Se découlèrent…s’appliquèrent…
    Selon l’humeur ….
    Des écussons de l’homme agent du meurtre…




    Un poème D’après LE POÈTE AHMAD MATTAR…
    احمد مطر
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS….

    Par-ci, de soixante-dizaines de blessures offensives…
    Selon une séquelle hémorragique nocive…
    S’avèrent…ne couvre guère…
    Qui fait tuer la peur due de bout à la peur…
    Et à mes poèmes elles surnommèrent...
    Mon lecteur, dénomme elle mon heur…
    Ainsi que nomine moi ….comme
    Un suicidé avec un poignard de la lettre…
    Parce qu’il n’y a que la tricherie…
    Et les jours devenus recherchés que…
    Par…
    La flute, et à mon égard je ne peux guère …
    Vivre comme un tamboureur…
    Alors, voici mon cœur comme un carnet nu et ouvert …
    Et sur lui ….
    J’ai écrit mes vers par un cimeterre…



    Un poème D’après LE POÈTE ABD EL-OUAHAB EL-BAIATI…
    عبد الوهاب البياتي
    Je l’écris en FRANÇAIS

    Bocaux avariés…


    Le dieu, l’horizon éclairé, et les idolâtres…
    Se sentent leurs frontières…
    A brûle-pourpoint…
    Du volcan Vésuve…à point du jour…
    Concrétise les cités futures…
    N’agrège que les astres…
    En avivant dans ton cœur les feux et la joie …
    De la profondeur. Par l’ardeur d’amour.
    Et les vendeurs ses aigles ayant faim…
    Et les quasi-hommes sont aveugles…
    En extra-carrefour, s’avèrent,…étourdis…
    C’est sûr qu’il n’y aurait bel et bien une enveloppe nègre…
    Néanmoins ce du jour…






    Un poème D’après LE POÈTE Ahmad Ali Saïd dit : ADONIS…
    احمد علي سعيد ( ادونيس)
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    MAISON INHABITÉE…
    AUX TOURS DES FAUBOURS

    Des fenêtres des larmes exilèrent…
    Avec les vents éloignèrent…
    Et une montagne des épaules encastrèrent…
    Qu’à tout moment, l’air, le tuile sapins,
    L’observèrent…
    Un figuier vieillard…
    Ses sils sont avec son pied…
    Sont accrochés à cause du répande au cœur…
    Et le silence fait aiguiser les dards des tulles…
    A cousu de linceul des oiseaux chantèrent…
    Devenue une cloche des gouffres…

    Je m’imagine comme si :
    J’écoute une absurdité d’une petite jouvencelle…
    Que ses mains se durcirent…
    Et ses sils attachèrent avec une humeur on dirait un papillon
    un jouet ou un ballon ne virent plus le ciel que sa couleur…

    Je m’imagine…
    Que je sois en nuit vigilant…
    Ainsi en chant….
    J’assis avec une dame
    Que je me découpe son petit-fils qu’elle l’aime…
    A chaque nuitée, elle nous cerne…
    Par la bizarrerie des histoires…
    «Une femelle d’un Djinn des eaux comblent de couvercle sombre…
    Elle se nous avère, un spectre…
    Elle nous préfère, elle nous achemine à sa terre… »
    Elle nous porte des vêtements des fils obscurs…
    Et le pasteur du convoi, un tue ou tueur par les loups…
    Sur sa Colline...
    Et le joli chevalier cours sus à son ennemi que ce dernier finit par un coup de grâce…
    Lors de cette attaque violente…
    Puis ce fut, il capture, il accule…
    L’amoureuse enchanteresse…
    Des profondeurs de cœur de son adversaire,

    Je m’imagine…
    Je reprends en mes mains les fibres du temps voyageur…
    Qu’à travers ses tresses je te rends des fenêtres…,
    Et une fillette et une grand-mère…
    Et je rappelle ceux qui passèrent…

    Vivre comme la lumière des ceux surpassèrent…
    Et faire une percée pour créer un poème et partir….
    Avancer, ou augmenter l’amplitude de la terre…
















    Un poème D’après LE POÈTE BADER CHKER EL-SAIAB
    بدر شاكر السياب
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS




    A notre ville, la nuit est non-sombre…
    Par un feu sans flamme obscure…
    Ses boulevards, et ses maisons dont les cloîtres…
    Devinrent fiévreux, or peu après sa fièvre va disparaître…
    Ensuite, le déclin du soleil la badigeonnera
    à travers tous portés de cumulus des merveilles…
    Tellement presqu’elle volera des signaux…
    Que ses défunts se lèveront, s’éveilleront…










    Un poème D’après LE POÈTE BADER CHKER EL-SAIAB
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS



    Nous eûmes faim…
    A cause de cloison noir, nous affolâmes, nous eûmes de la peur….
    Nous te cherchâmes dans la crépuscule,
    Ainsi un sein, et une mamelle.
    Ayant une poitrine,
    Un vaste horizon,
    Son mamelon,
    Une nuée de la révolution,
    Un vignoble sur notre globe.
    Tu écoutas notre chagrin,
    Et tu vis comment nous mourons,
    Donc,
    Arrose nos chemins….
    Nous nous cessons de vivre, c’est le malheur,
    Aussi bien que, Tu sois âpre et austère….



    Un poème D’après LA POÈTESSE NAZIK EL-MALAIKA
    نازك الملائكة
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS




    Nous retournons donc, vers le long parcours…
    Que nous sommes confrontés par les figures acérés…
    Que toute truque nous coïncide peu après…
    Comme s’il était en âcre arrêt ….
    Nous retournons donc, qu’aucune clarté n’éclaire…
    Pour notre point de vue obscur….
    Nous marchons, nous entraînons les décombres d’un petit songe…
    Que nous ensevelîmes après un court âge…










    Un poème D’après LA POÈTESSE NAZIK EL-MALAIKA
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS




    A travers la cloison sombre de l’univers…
    Sa tête ivre fut en butte des brûlures…
    Et qu’ils gâchèrent sa netteté, et sa dignité sanguinaires …
    Sur les pierres de la posture…
    Les dernières parts ou épisodes du meurtre…
    Que ses faix assumèrent par le garde champêtre…
    Et puis fut offert tel un sacrifice aux résidents
    Des tombes sacrées…
    Et un gain, et un désir…
    Un acquis, et un loisir…





    Un poème D’après LE POÈTE MAURITANIEN MUHAMMAD OULED ABBAH OULED IMMAM
    محمد ولد اباه ولد امام
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS


    A chaque matin que nous sommes surpris par la lumière…
    Que nos rêves monteurs …
    Nous condescendent …tel un spectre…
    Puis ce fut…nous retournerons…rapidement en arrière...
    Vers les crépuscules réveillés….
    Et vers les fictions des veillées…
    Tel Sisyphe…
    Nous convertissons chaque soir à
    Les illusionnistes bauges signés,
    Et ainsi que...
    L’araignée…
    Pour être démolir par la clarté soignée…



    ترجمة ديوان قديس يطير طيرانا سبوحا في السماء
    ( ترجمة كاملة بتصرف)
    الشاعر تشو اوو هيون
    Un poème D’après
    LE POÈTE CORÉEN TCHOU WOU HUN

    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    UN ENTENDEMENT

    Aux premiers temps …
    Fut, hercule…
    Il fut condamné à soutenir sur ses épaules les voûtes
    Les terres et ciel…
    Or…
    Qu’il ne peut guère jouer, même de bouger sa cervelle…
    Cette dernière ne pèse guère et parbleu un grain de la moutarde…






    Un poème D’après
    LE POÈTE CORÉEN TCHOU WOU HUN
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    PAROLES D’UN MARIN


    Le palmier…Le seul
    Tend ses bras vers le ciel…
    A travers tous ses souffreteux pôles…
    A travers tous ses côtés fiévreux …
    A travers tous ses sables douloureux…
    Il porte le voile …en revanche…
    Qu’il n’a rien d’oreille, de nez, de cou…
    Il se couvre afin de cacher un sourire,
    Qui accule…qui cercle…qui essaye à courir.





    Un poème D’après
    LE POÈTE CORÉEN TCHOU WOU HUN
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    UN SAINT QUI VOLE AU LOINTAIN



    Aujourd’hui, c’est le premier jour…
    Ce premier jour, s’est appelé par le jour…
    Train des mouchons du plein air…
    Posent leurs œufs, partagent le discours…non-signifiant…
    Si en voyant le brûlant astre, complètement brillant…
    Avant le déclin…
    Néanmoins…
    Je vive, comme si je vive…qu’après le point nommé de mon départ…
    Je ne me sens guère d’être tapageur…
    Un de ces jours…
    Sinon que…
    Le saint…ne fut qu’
    Une nue des mouches de la journée…
    Volant lointain,
    Même s’il Vivrait mille d’année…




















    Un poème D’après
    LE POÈTE CORÉEN TCHOU WOU HUN
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    A NIRVANA

    Je ne trouve jamais une personne
    Aussi ignare que signifient les agréments de la vie…
    -Alors…Que penses-tu,-
    Elle ne concevrait guère les affres des morts…
    En pris cette rue, ou l’autre…
    Le pire qu’est un cafard qui court…
    Par contre…
    Qu’il faudrait être un homme vivre aux oiseaux,
    Qui vivent dans le fort de l’avoisinante forêt des vivantes eaux…







    Un poème D’après
    LE POÈTE CORÉEN TCHOU WOU HUN
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    UN FRÈRE ET UNE SŒUR


    Ceux sont deux petits : un frère et une sœur…
    Marchant dans le même sillage…
    Ils sont semblables aux bourgeons…
    Aux poissons rouges Salamon…
    Qu’ils s’éveillent au point du jour,
    Sur les feuilles des arbres de ce bourg…
    Pourtant…
    Le rideau noir de l’univers…n’arbore encore...








    Un poème D’après
    LE POÈTE CORÉEN TCHOU WOU HUN
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS

    CECI EST MON CORPS


    Je montai jusqu’au bout du faîte…
    Des montagnes NAM’ SAN…
    Où je fus aux aguets du soleil, et son déclin…
    Elle fut la ville de SÉOUL…
    Une file d’écume rousse et sombre…
    Alors…ceci est mon corps avare…
    Ce dernier ne fut qu’une sangsue douce…
    Attachée en feuille de la mousse…
    A travers cette caravane….





    Un poème D’après LE POÈTE : TAGOR
    الشاعر الهندي تاكور ( طاغور)
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS




    Où il n’y a plus d’affolement pour …
    L’esprit indépendant…salutaire…
    Et la tête à un faible pour la hauteur…
    Et où la cognition se libère…
    Et que le fanatisme n’égratigne à jamais portes et fenêtres de l’univers….
    Et où les muses passent de dehors au-dedans des profondeurs sincères….
    Et où le combat séquentiel tend ses mains vers le parfait humanitaire…
    Et où les vallées de la raison ne perdent guère son écoulement dans les déserts
    Des annihilées mœurs ….
    Et où l’entendement guide vers les arènes plus immenses que…
    La pensée et la besogne…
    Au-dessous de ce front de libérations …
    Eveille mon OUATAN …je te prie mon Dieu…




    Un poème D’après LE POÈTE : RASSOUL HAMZATOFF (OV)
    الشاعر الداغستاني رسول حمزاتوف
    Je l’ai traduit en FRANÇAIS


    J’entendis au mon pays âpre…
    Que les mots sincères engendrèrent toutes les créatures….
    Nous sommes les humains coupables parmi tous les êtres…
    Alors…
    Comment déclenchèrent …refusèrent le oui par les cris huée…
    Ceux-ci les mots des éternels vocabulaires dictionnaires…
    Ordre…serment….ou prière….
    Nous sommes en disposition à lutter pour ce bel univers…
    Que le monde est richard par les lézardes et les gerçures…
    Et par contrainte le monde est à bout…
    Alors…
    Dégager des mots…
    Serments….
    Prières…
    Malédictions…
    Pas de souci…
    L’essentiel….
    Qu’elles viennent au secours de l’univers…

    Un poème d’après le poète japonais Dakotsso Lida
    داكوتسو ليدا

    Je l’ai traduit en français

    Une nuit,
    L’ombre surnaturel de l’apogée FUTJI…s’avère,
    Oh ! quelle froideur..
    Dans la lune et sa lueur

    Le chasseur
    Triche de l’ouï, la rumeur
    Et prête attention aux signes qui concentrent la fusion sur la blancheur…

    Devant une porte d’un temple à la hauteur de la montagne,
    Les nuages se passent, elles n’ont aucune besogne que la grandeur en joie
    Elles sont fastes et favorables.
    N’est pas l’automne est juste et acquittable…

    Ma bourgade et sa terre
    Je la recherche dans cette charade
    Le printemps, sa tiédeur.

    L’ombre de la mort sinistre de printemps,
    Avoisinant au château briscard, antérieur
    Mon camarade, sa demeure

    Le pampero du grand sud
    Le repas favori des corbeaux
    Sur les vires et les esplanades.

    Après un dîner des poissons aux grillades
    Son ombrage, pareil à un rêve isolé
    que nous ne marchons pas dans le même sillage.
















    Un poème d’après la poétesse chinoise Yink Zu
    يينك تزو

    Je l’ai traduit en français

    Au fond de la mer ;
    Une faramineuse chaleur exaspère
    Et derrière un arbre de corail
    Un autre en se mettant debout
    Et en plus qu’en derrière il y a un autre arbre
    Ton nom sera une lumière n’est guère obscure…
    Et tu racontes …
    Tourne-toi et regarde-moi !!!
    N’aller guère trop loin en noyant tout seul dans la bouteille qui ne contient que les récits de malheur…
    Car les missions de l’hiver achevèrent…
    Et ne néglige pas encore le soleil, d’ébauche d’un sourire…
    Et ne cherche guère à trouver une éblouissante dernière demeure…
    Qu’elle doit être en marbre..
    Entre un œil épanoui et l’allée sans retour d’une songerie…
    Tourne-toi et regarde-moi !!!
    De façon que les cieux boycottèrent pour verser leurs larmes…
    Et je vais attendre derrière un masque de cendre…
    Je vais t’attendre avec un caractère qui dance ballet étant dur
    Idem
    Les illusions causent la ruine
    Avec un malheur
    De la terre qui fait froid et une petite espérant à la lueur se tourne flore en m’ébahissant, en me regardant…





















    Un poème d’après le poète chinois lu meen
    لوو مين
    Je l’ai traduit en français

    Durant l’enfance,
    Les yeux furent bleus
    L’éternité tenace
    Et aujourd’hui sont un jardin dans ta jeunesse où il n’y a que les pèlerins
    Dans ton demi-âge vont être une tornade dans la mer
    Vont être mécontents quand tu deviendrais vieillard…
    Et rares tel un théâtre de mi nuit …
    Après qu’il montre le rideau sombre…
    Entre l’âme et le corps
    La chatte s’attable avec gloire avec moi au dîner…
    Et comme elle fait l’augure,
    D’une moisson de grande envergure…
    Et j’ai regardé dans ses yeux apeurés adorant
    Où l’histoire humaine se revient en chaleur…avec enthousiasme fureur
    A l’accoutumée
    En hiver je partage le plaisir de feu de tison avec ma chatte célèbre que nous échangeons les idées et les regards
    Qui marchent parallèlement sans savoir un point de dépotoir
    Et quand on n’allume guère la bougie de l’esprit…
    L’abondance prend la charrette des cadavres…
    De luxure et paillardise
    Le corps à travers le tunnel sombre…
يعمل...
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