De poete traducteur salim regami...a...son amoureuse reine sabti

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  • الشاعرالمترجم سليم رقامي
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    • Oct 2016
    • 10

    De poete traducteur salim regami...a...son amoureuse reine sabti

    Un bouquin de poésie
    Afin de n’omettre guère ton amour ‘’REINE’’.
    Du poète : Salim REGAMI, EL–HADJAR, ANNABA, ALGÉRIE.

    Dédicace :
    Pour tous Mes lecteurs ;

    Pour un amour qui est venu après une longue attente….

    Que jamais je n’ai vécu…

    Jamais je n’étais convaincu…


    Vers les abris de ma REINE

    Ô mon lecteur ;

    Quand on n’avait vu une beauté fabuleuse comme celle de ma REINE

    Quand on ne trouve guère des confins aux expressions poétiques

    Quand l’amant ne tâche que pour dédicacer plus de son amour ; son cœur et son esprit et son âme à son amoureuse….


    Ô mon lecteur ;

    Et après

    J’ai rêvé un beau jour d’être aimé, à plus forte raison d’être bienheureux à côté d’une femme enchanteresse, surtout qui met la réciprocité ou l’échange de : la compréhension, le respect, la confiance, et l’amour…et pourquoi pas d’être mon épouse si tu veux: REINE


    Et alors

    J’ai trouvé ma femme que je cherchais surnommée REINE


    Et là je viens aujourd’hui pour lui dédicacer un bon AÏD, à mon amour, ma passion, mes espoirs, et les amalgamer et les mêler avec ma background : c’est d’exercer une influence avec les antiquités, les cultures et les civilisations du monde entier,…de tous ceux ayant passé par-ci, par-là.


    Le poète : Salim REGAMI





    Pour mon amour'' REINE SABTI’’

    Sous la nuit enveloppant l'univers;
    Sous les couleurs magnifiques et lumineuses des lunes,
    Sous les chouchous et brillants rayons des regards des reines,

    En chantant les chansons de la Reine des roses ....

    Donc;

    Nous avons passé du dehors au-dedans de ce considérable monde, nous avons vécu en tant que des enfants et peu à peu nous avons grandi ailleurs, ou comme si dans la bibliothèque ou librairie de l'école du stylo et du carnet;
    de notre vie au quotidien perpétuellement j’essaye de bien contempler, et de faire des emplettes de ses maximes et de comprendre et là que nous avons bien conçu que les anges de la destinée nous convient a plus forte raison à connaître, à la fois la joie et le bonheur sont les suivantes: la réunion ou plutôt de la nomination d'ardent ou passionnant amour qui est à mon avis qui correspond de la poésie
    Par conséquent, comme toujours, à la rigueur, je vous offre ces œuvres poétiques pour souhaiter un bon voyage avec ma poésie même pour vous et les vôtres ....



    Le poète : Salim REGAMI


















    J’ai un rêve
    D’un horizon gai comme le jeu
    Comme les flots de la mer et ses aveux
    Comme l’amour et ses enjeux
    Comme et que la lune s’installe afin de continuer
    Comme un vol des rossignoles sur les citadelles
    Passant par des étroits ravins
    Mais…quoi
    Quelqu’un qui se réveille sur la plage
    Bleu du ciel comme merveille
    Sur le quai de la vie resté bouche bée
    Il rêve d’elle, parle d’elle, se sauve d’elle
    A tort et à travers
    Il cour dans l’univers
    Pour accolader sa fraîcheur
    Il n’a guère l’audace pour finir cet amour …
    O le jour se lève encore
    Laisse nous satisfaire dans notre amour
    Que le malheur est obscur
    Leur continuité passe dans un mauvais corridor
    C’est l’achèvement du discours
    Et qu’il reste de rebeller en amour
    Sinon qu’il signifie la mort….






    L’autre femme de Socrate…
    Entre les embrasa des forces des monts
    Dans les mers, et les gigantesques flux
    Enchevêtrement les mystères du monde,
    Dans une nature dégoute la charade,
    De là, la créature débute de lire la feuille de sa pensée
    C’est empêtrement joli, qu’avec l’écriture sainte a réfléchi
    Et avec la gaieté des galas de NOËL a enrichi

    Est un désir chancelle entre les yeux et les mamelles
    D’une fille très belle
    Sa beauté, un océan rebellé
    Sur ses flots où concurrent les gazelles
    Porteuse des épîtres vers les squares des amoureux

    Alors ;
    Rien à faire surtout qu’elle tiendra debout,
    A cause d’un bon, mal songe,
    Mais elle va s’absenter d’un beau mariage

    Pourquoi ?
    Il la glissa sur son ‘’street’’ pourtant
    Sa femme est derrière la porte
    Elle n’a pas tenu en considération d’où
    Elle est survenue que…selon sa pensée

    Donc ;
    Elle le quitta afin de bien penser……
    Un poème en prose ;
    LA LIBERTÉ
    En tenant compte que Béni-Sallo,
    Une forteresse dans sa suprême fable,
    Voilà que ses images se sont avérées
    Aux miroirs des sables d’or d’HIPPONE,
    Le voilà étant en marche,
    Des enjambées en tout droit,
    L’histoire de ceux ayant passé par ici,
    Elle a été approchée à lui :
    C’est la réalité, dans le coran, a été découverte,
    Dans les fonds des antres et des mers,
    Célèbre depuis l’aube du temps,
    N’a aucun terme précis ou concis,
    Connue chez toutes les nations ;
    Attache-toi au fil de la clarté,
    Abolish’’ le black-out’’, à plus forte raison ‘the darkness or the gloom’
    De cavernes
    Assume les gigantesques désirs afin de passer de dedans au-dehors de
    La nature de l’injustice
    Sois uni avec l’univers,
    Et délaisser ‘the disorder’,
    Et parler les airs des volatiles,
    Et s’affranchir de rester constamment chez les cimetières,
    Et à plus forte raison tel un aède d’une ensorceleuse,.....






    *le bisou de mon amoureuse REINE*
    ‘’La jeune fille de la beauté surnaturelle’’

    Sous les ombres de ce soleil là
    Elle
    Apparaît..., s’élève
    D’une beauté ensorceleuse
    En portant l’habillement de la déesse de rose
    Les arbres épuisent ou ils drainent
    Afin de
    S’abaisser et affaisser
    Les roses colorent par la musique jeune
    Les pâturages bleuis, et
    Ensuite, ils sont devenus comme une mer
    Et dans cet état échéant,
    Je m’ai été abimé en
    Sa beauté fabuleuse
    Une graine de pistache
    À la berge d’une mer
    Amant,...je suis un amoureux ;
    Je m’ébranle ...et puis je m’enfuis jusqu’ici,
    Ensuite,
    Je goûte et je remplis de sa mer.
    Sous les ombres de ce soleil là
    Bijoutier ;
    Diamant...corail...et pierre précieuse
    Je me dégourdis, et puis je choisis
    Un diamant
    Et la nuit dominante
    Et dans le bisou les obstacles gâchent et
    Les portes sont ouvertes
    Le poème désobéit
    Idem ;
    La rime se dresse
    Et dans le bisou
    Nous avons achevé
    Sous les ombres de ce soleil là
    Dans le trône je l’ai trouvé
    Une reine est couronnée dans son royaume
    Ses charmes m’extorquent
    Et ses cheveux me chatouillent
    Comme
    Un tapis d’été a été annihilé
    Par le bleu de la mer
    A été offensé par les vents des hauteurs
    Des monts du LIBAN,
    Puis
    Il était mouvementé, et vagué
    Et
    Le bisou était d’elle
    De ces lèvres délicates et douces
    Les flots de *Lītāni*
    Ou les flux de son élixir affluent
    Et
    Les flots de la méditerranée concourent
    Je distrais...elle est alléchante
    Et
    Affriolante plus que le jus quasi du miel d’abeille
    Sous les ombres de soleil là
    Sur les pâturages
    J’ai dansé avec mon amoureuse
    La lune est aveugle..... Et la nuit est calme
    Et
    Dans les bicoques de poésie le rendez-vous a été fixé
    Et par le feu de tison a été le bisou d’elle
    Sur la musique du feu....et la confusion des couleurs
    J’ai mêlé mon âme avec elle
    Et puis
    Etait-ce bisou d’elle.























    Le couple de deux jeunes Canaris
    La nuit a couvert le large univers
    Telle une amplitude de l’esprit des airs
    Dans les brousses des natures
    Vers l’une des cités de créatures
    Où je la trouvai, une belle canarie
    Souffre et crie
    Elle blessa dans ses charmes
    Elle blessa dans son âme
    Elle blessa dans sa mélodie de forme flamme
    Une voix venue de l’orient
    Ses devises démesurant à travers les continents
    Sa voix poussant autour d’elle mes sentiments
    Quand elle vole, c’est comme la gazelle
    Marche sur les nuages du ciel
    Une jeune canarie
    Créa l’ambiance par ses douces danses….
    En revanche
    Elle se tint debout sans chances
    D’affranchir son amoureux le jeune canari poète sans qu’elle pense….









    Ma jouvencelle…telle la Blanche-Neige
    Les fables s’accoutumèrent
    Les anges aimèrent
    Les augures pour l’amour dérivèrent
    Pour son départ vers les anges des beaux-arts
    Dans les cavernes entretenaient avec les nuits
    Narrèrent de leurs contenus
    D’une jeune fille qui a perdu sa bague entre
    Les lignes de mes vers
    A guéri par mes merveilles
    Une abnégation pour ses yeux gris
    Ils brillent comme ils sont enchâssés
    Par le brouhaha de la barbarie
    Ou elle était émerveillée par la jalousie de la diablerie
    Ma jeune fille fût en butte d’une male-songerie
    Celle est la sorcellerie des miroirs ciblés
    Autour de ma blanche-neige












    Martin Luther King

    On dit, On considère

    Telles des fatalités allèrent,
    Selon leurs songes
    Comme une rêverie n’est guère de mensonges…
    Telles des clartés jonchèrent,
    Sur les arènes des partages,
    Telles des originalités déployèrent,
    Sur les monuments du courage,
    Telles des gloires dominèrent le créateur,
    Telle l’éternité….
    Afin d’être avec la créature en unité,
    Qui a récité les prières,
    Pareil à un ascète ou pieux,
    C’est aller en glorification de Dieu,
    Le tout Clément, le Miséricordieux,
    Qu’il narra à ses descendants en vers des belles histoires,
    Y étaient d’astreindre
    Qui tricota sur les fibres du temps à perdre
    Entre le blanc et le nègre,
    Vers d’entreprendre ces souvenirs aux contes,
    Réciproques ou transférés en propres mains des pauvres avant des comtes,
    Pour être avec l’une d’eux des parodies des univers,
    Dont,
    Un homme et une femme
    Qui sont…
    Des esclaves surnaturels
    Consolidés par l’Évangile
    Ils ont aperçu la lune diurne,
    Et par les Cobras malmenèrent,
    Guidèrent vers les déserts,
    C’est une maltraitance berbère,
    Abaissèrent au fond des mers,
    Soufrèrent…regrettèrent, au Dieu demandèrent…
    Et à lui levèrent leurs anathèmes,
    Sois prudent… sois tolérant
    N’entends pas
    Vas à départir pas-à-pas
    Ecris un poème
    Amateur dans toutes les ères
    Sois un amoureux de la nature
    Que tu ensemences les germes des roses
    Et d’elles on extrait les réalités et les rêves
    vis avec la lumière des anges
    Pour que tu sois détruit par l’échange de haute envergure
    Sois libre
    Embrasse l’esprit céleste
    Adhère en convoi libre……








    Que porte la nuit…
    Ô la nuit, quel bonheur
    Tu couvres l’univers à travers
    Ta foncée couverture
    On dirait que tu es une Reine des créatures
    C’est un lien entre les fantômes d’ALÈS
    C’est un lien entre les fantasmes d’ÉPHÈSE
    C’est une mutualité des sentiments et de poésie
    Etait comme un grand amour
    Cependant était au bord de la mort
    Ô ÉROS
    Offre-moi un château d’or dominant des maximes entre les communs
    Ou un jugement entre les êtres humains
    Car ta couleur gagna la nature et que la joie va sortir de nos cœurs
    Pêcha par une fille de beauté splendide
    C’est qu’elle offerte par Aphrodite
    D’emblée qu’un baiser de chères lèvres
    Ecailla comme une fleur
    Eblouit ses yeux par la nuit et sa couleur

    Alors

    Mon amoureuse vit sa jeunesse
    Qu’avec tendresse
    Comme une princesse dans ma belle forteresse
    Que je suis son poète sans faute.



    Récits de l’amour,
    En récitant le contenu ....des pages des bouquins favoris des histoires d’amours ; a monté à bord des paragraphes avivant...
    Continue ... !
    Les jours magnifiques ont été en butte de la gêne ou de retard ou d’arrêt pour joncher ses retouches sur le futur venant
    A l’accoutumée, était en face de ce terme selon des divers temps ou simplement par intervalles
    Voici entre !
    L’est et l’ouest
    Le nord et le sud
    Il ne trouve pas son amour…c’est pourquoi…
    Il est en oraison funèbre
    Il s’emploie à découvrir son aléa
    Un contemplant un gobelet inversé
    Quel augure…quel oracle…
    Entends ton fond
    Identifies-toi à lui
    Tu le trouveras à côté de toi
    Alors!
    Il l’a vu semblable à son ombre
    Une jouvencelle dont,
    Ses cheveux sont colorés par l’essence des couleurs des joyaux
    Devenus stables, jolis : c’est grâce à l’esprit du royaume des roses
    Il te prend avec les chardonnerets vers les larges espaces
    Frais, flexibles, fermes comme les branches du ‘CÈDRE’
    Ses yeux ...c’est pareil à des anges éblouissants, ébahissant en soirée d’un AÏD
    Et là où les récits d’amours devenus son théâtre
    Sans oublier, son entretien ayant été en air vers le cœur où j’ai maintenu mes vers
    Donc ;
    Ma jeune fille de’’ beauté sauvage’’
    Veuillez agréer mon bisou à votre délicate joue
    Où tous les cosmos vastes des sentiments sont réunis
    Où couramment je suis à vous un amant


























    Tout simplement je t’aime ma fleur….

    Je ne sais plus ni d’où on va aboutir dans l’amour, ni comment aboutir, or je sais où je vais commencer, d’où je débute par l’expression ‘’je t’aime mon amoureuse comme si je te donne mon cœur en sacrifice’’….
    Une des fantastiques allocutions, des gigantesques sensations, des caractéristiques des dictionnaires de la communication entre les amoureux….
    Existantes à l’apogée du volcan d’HOGGAR, pour que nous vivions et mourions à la même heure ; ce n’est guère au hasard où mon amour s’avive et s’avère comme si des conjoints dans un concert….en t’étant offert idem tel un tableau au cœur de la nature…dessiné par les plumes de la destinée ….celle-ci a des yeux gris qui attirent mon regard, sans omettre ses lèvres en couleurs claires chancellent avec toute brises de l’air et moi un oiseau baladant en tous les ères…
    Mon amoureuse ….
    Laisse-moi un endroit dans ton cœur afin que tu concrétises mon espoir d’être mon épouse…
    Et puis prends un stylo et appose ton bisou sur mon carnet de poésie….



















    Un poème d’amour pour REINE…..
    On dit,
    Elle s’avéra, arriva, comme une colossale germe de l’amour dans cet univers ; à ALLAH qu’elle pria….alors elle est REINE l’énigme de mes mains….
    Elle s’allongea et avec un jeune poète, elle partagea…et avec elle, il discute et pour elle son poème de l’amour chante…comme une pièce de théâtre charmante, ou un printemps d’année fleurissante….que les yeux de son amoureuse prennent part comme un fragment de pierre précieuse dans l’art rare…comportent les mers et les déserts…et pour elle les portes de PLATON frappèrent….tu es trop belle REINE et tout simplement en avance dans le bonheur à pas de géant…et pour toi que les descriptions dominant…..
    Mon amoureuse… REINE …
    Donne-moi un peu de ta bière andalouse n’existe que dans ton paradis….dans tes douces lèvres…..
    Merci….


















    Une lettre dans un poème
    Sur le quai du destin , les lettres se balancent et ainsi elles s’aperçoivent comme des chancelantes, se sont ingéniées par la beauté, ne sont plus fortes que pour accéder à l’âme des amants, que pour surmonter les sagesses et les secrets des missives d’amour, portées aux cœurs des pigeons , dans des couronnes sur des têtes des charmantes, dans un bisou à la joue d’une affriolante , elles se précipitent de son monde mystère dans des mots de passion des grâces de Dieu, je les dédicace à mon amoureuse en agréable jour, pour une longue marche, afin de prendre une route non-dénommée que par les noms et synonymes de l’amour, celle que je vois comme une merveille couronnée dans le monument de ‘’RIADH EL-FATH’’ une martyre de l’amour, et à elle j’ouvre mes bras, où je l’attache ou je la joins à mon cœur ,celle qui relève son sein comme le lever des cornes des gazelles de bas vers le ciel, et à elle que j’abandonne mon état c’est comme ‘’ ÉROS’’ qui m’ a donné tous les rêves de toutes les enchanteresses.
    Mon amoureuse voilà un rouge des couleurs du spectre et puis dessinez-le comme une écharpe à tes épaules afin que je ne vous néglige guère et à jamais à tout dans une lettre dans un poème.




















    Une transition longue…pour un voyage dur…
    A vrai dire…
    Qu’il passa de dehors au-dedans de ce vaste univers,
    Qu’il écrit selon les meilleurs chapitres,
    Qu’il plonge, à plus forte raison se noya au sillage de l’art obscur,
    Qu’il chanta de la douleur,
    Qu’il marcha à l’aventure,
    Qu’il se mit au vert,
    Dans un bouchon n’est pas à servir ou à ouvrir,
    Dans ce chemin, je le trouvai comme une sentinelle,
    Banda ses yeux tel un aveugle,
    Envahit par une vague de fugue de fait vague,
    C’est le seul, le destin lui se concrétisa comme un dessin à travers,
    Une plume nègre, sur un fleuve sanguin,
    C’est le sang de son cœur ouvert grâce à la majesté des malheurs,
    Je le vois prendre le train d’accrochage entre la vie et la mort,
    Pour un long départ,
    Que ceci n’est plus au hasard,
    Sans faire ses adieux à ces bouteilles et ces verts,
    Celles et ceux qui lui narrèrent,
    Que les bonheurs,
    Pour aller antipodes,
    Qui t’a dit….
    Que les dons de Dieu pour lui vont réaliser,
    C’est que les satanes de poésie disent…
    Entendre…
    Elle va le délaisser…
    Comme elle a affaissé tous étaient passé d’ici et d’ailleurs,
    Or, il aime cette avenue des prochains souvenirs,
    N’inquiète pas, il va survenir,
    Alors ;
    Il va se convaincre que son voyage une sans faute une erreur…


























    Pigeon perdu….
    Il est perdu entre les ruisseaux et la verdure
    S’abreuve des délicats abreuvoirs
    Se nourrit des fantastiques airs
    Il aima la vie et que cette dernière
    Résida au fond de l’univers
    Son amour, fût sincère
    Exporta du cœur
    Attendre…
    visa par son prédateur
    Fut tel un cauchemar
    Fut toujours le destin nous cherche
    Et la vie constamment marque sa touche
    Dans le bonheur et le malheur
    Dans l’attachement et l’écartement
    Dans le dell est le Farewell….













    HOMMAGE à MON AMOUR *REINE*
    Les envergures des mondes sont déjà diversifiées, idem les lunes restent de joncher les clartés, et mon cœur s’était attaché à la Reine des merveilleux astérisques.
    Ceux qui ensevelissent de leurs lumières vers les délicates joues de mon amoureuse ‘’REINE’’ afin que les créatures l’écoutent et qu’il cherche perpétuellement de comment réduire le trajet vers « REINE » pour voler avec les pigeons vers ce magnifique horizon qui existe uniquement au LIBAN. Jusqu’à l’ère d’HIPPONE et la PHÉNICIE. Vers le destin qui a fait unir nos cœurs. Jusqu’au bout dans l’amour de ‘’REINE’’.
    Alors, elle est ma jeune fille.
    D’un corps effilé et sachant que les oiseaux la hantent afin d’être beaux. Ses yeux du gris et que l’argent dédicacent sa couleur à ‘REINE’’, sans omettre sans faute ses cheveux marron.
    Alors, comme une feuille du sapin en jour d’aïd en accélérant, en volant pour stabiliser sur ses épaules comme un BURNOUS des ancêtres.
    Donc, elle marche dans le sillage des sages personnages dans le brouhaha des charmes et des finesses et tout simplement c’est ‘’REINE ‘entre la ZÉNOBIE et TÉNHINEINE


















    HORIZON
    A cet horizon éloigné
    S’étant guéris par les maux pluviaux et solaires et torrides
    Par-ci où elle s’était tombée
    Précipitée par les flèches, les dards de la mort
    Sur un sable argenté croustillant, délicieux des plages d’HIPPONE
    Et les fantômes palpables et concrets crient comme des enivrés
    Ceux sont les saluts du ҪIVA
    Montant au bord d’une arche en marchant, plutôt en navigant sur une arche du Sidi M’Cid….
    Sois rapide le temps presse... ;
    A son île,
    Son fief, Son patrimoine
    Étaient situés
    Il a mis son âme et son corps aux fers pour elle
    Agir, c’est votre esplanade et votre arène
    Parler, elle va t’aider
    Élucider, elle va t’entendre
    Être plongé dans l’obscurité : c’est pour elle
    Et pour elle, le contrejour est le titre d’affection éternelle
    Et un chemin surnaturel
    Faire vivre pour elle comme un ménestrel d’une belle...








    C’est une écriture….
    Ils disent ….
    Quitte toute inquiétude
    Tu t’abandonnes à la lune splendide
    Apprends les versets du clément
    En tout moment
    Combattez
    La peur, la fraude
    Et préfère les cultures et les couleurs
    Prends un bateau de foi
    Et navigue entre les abimes au fonds des mers,
    Balade en fiction fructifère
    Comme le monarque contre la misère
    Et emploie-toi à faire une prière
    Afin de vivre toutes les ères…..














    À mon amoureuse REINE

    Je me suis soumis à la poésie,
    Sous l’effet du ZÉPHIR ;
    Je stationne à l’un des dômes de la nature ayant une belle devise ;
    Je médite une beauté qui a impressionné un poète de la première vue.
    Et au nom de la beauté,
    Il écrivait de la poésie
    Son amour écoulait dans mon cœur comme l’eau dans la cascade
    Lady ;
    Prêche- moi par un sourire……….
    Un sourire qui déchaine ma plume pour exprimer ce qui est dans mon cœur, qui lit les paroles de ma poésie qui dessine par les doigts des anges, et qui récite les noms des canaries, pour dédier ce jour à la beauté pour découvrir ma poésie.
    Et puis, je te rends éternelle dans mes les pages de ma vie
    Pour la suspendre sur les villages de théâtres, et les villes de la littérature
    Madame ;
    J’adore ta beauté y compris de tendresse ;
    Douceur, et sentiment ………….
    Ta beauté a pris le poète à des millénaires de passé, aux légendes des grecs et des romains.
    Elle était une messagère des dieux de la poésie et de la beauté.
    Je lui envoie avec les oiseaux des rêves et d’imagination, qui ont augmenté son élégance et son équilibre ………
    Pour lui prendre dans cet horizon lointain où ils ont publié leurs lettres.
    Une lettre d’amour, que je recevais en mon imagination comme quelqu’un qui éclaire ma vie ……
    Elle tombe comme les gouttes de rosée sur les parois de mon cœur qui adoucit à elle
    Elle m’a flashé par la brillance de ses yeux, que je l’ai imaginée comme illumination de mes poèmes




























    L’artisto


    Le peintre exerce une influence sur son tableau …….
    Le sculpteur exerce une influence sur sa statue ……
    Le compositeur exerce une influence sur sa musique ……
    Alors, moi, je m’adresse à ton amour …….
    Ses yeux ont soulevé mon âme …..
    Ses flèches ont percé ma poitrine …..
    Le muézin annonce que la littérature est levée…….
    Je me précipite vers le mihrab pour prier et appeler dieu de la poésie ……….
    Plus d’encre………
    Je crains que ………..se termine …… et je termine bien que les lettres d’amour à Reine, ne sont pas encore terminées…….écoute …………
    Je vais entrer avec toi dans une nouvelle ère
    Madame,…….
    J’erre ……dans le brouillard, et je dessine ton beau visage sur ma paume ………….
    Reine …….je t’aime, et mon cœur est témoin.
    Si la beauté est comme les saisons,
    Tu es la beauté et les saisons, et chez-toi,
    Les histoires de mes vers sont divers………
    Que je les mène à la lune ……
    O lune ; tu étais la lumière pour l’amour et les amoureux, tu illuminais les poèmes d’amour, tu te reposes
    Je regarde la vie …………..avec des yeux comme les étoiles du ciel……..elle était mieux claire,
    Puis, j’ai envoyé ma poésie sur une vague de nuages, qu’elle était …
    Au la légende de la poésie …et la légende de nature.
    Elle pose sa beauté sur mon âme, et elle est devenue la rime de ma vie, dans ce moment
    O mon âme! Ne t’inquiète pas, elle est une dame que je n’ai pas trouvé dans les règnes des gothiques ni dans les poésies des romaines ou de « HOMÈRE »ou « VIRGILE »…..ni, aussi dans les temples des hindous……….
    Mais je l’ai trouvée à côté de moi comme une reine et j’étais son poète ……..
    Eh! Les dieux de la poésie au-delà l’étoile peut vivre ……….
    Au-delà……………..
    Et, au-delà on dessine l’un des tableaux de la nature.





















    « Reine » et EROSTRATE
    L’écroulement des bâtiments des tribus passé par-ci par-là ;
    Alors qu’elles sont chancelées,
    Afin d’étaler de leurs mystères,
    De peur de la malédiction des mythes,
    Des jours, à la suite ………. Fruite en avant,
    Puis, avancement…
    Voici, ses entités qui ont manifesté sur les portes des temples ……………
    Le voilà avec sa tristesse
    Il ouvre ses yeux sur ces ruines
    Il inculque le feu sur ces endroits
    Il transcende en termes de nostalgie …….
    Il transcende en termes de l’amour
    Le voilà, il paye toujours le dommage de dimension
    Il voit un monde étrange ……………
    Qui le met loin de son rêve ……….
    Qui ignore sa légende………
    Qui s’adonne à son injustice
    Réponds …………… parle ………..exprime –toi ……..
    Amène –moi à ton imagination ……
    Et je vais t’amener comme une rose des bosquets du paradis
    Et grâce à toi, les chants et les sons sont variés ………..
    « Reine »
    Aimez-moi vers le haut de L’EDOUGH
    Je t’amène aux vers
    Je t‘intègre aux lignes de la poésie ………
    Je te fais ……… rime et caractère
    Et grâce toi, je suis classé un poète …………..
    Qu’est-ce que tout cela mon ami!!?
    C’est tu l’as vue …………
    Tu te sens comme si tu étais devant un tableau sur naturel, des jours de tristesse et de la misère.
    De ses yeux …Les étoiles et les lunes seront générées ……….
    Et de gris, elle a fabriqué l’encre argentée de mon stylo
    Et de sa bouche, on a pris les légendes primitives……….
    Et les histoires des anciens ont été établies
    « Reine »
    Rien de mal à t’aimer …….
    Rien de mal quand tu m’aimes …….
    Mais le désespoir c’est quand tu me laisses…











    J’avais besoin d’un baiser d’elle
    Il m’a rassemblé comme je touche son corps
    Mon amour
    Comme un bébé
    Afin que je me sens que ta tendresse cercle dans mon corps
    Mon amour ;
    Tu étais cette sirène
    Tu étais cette femme imaginaire
    Aime –moi
    Rend moi sur tes cheveux
    Des yeux du gris
    Par les expressions de l’amour
    Aimez-moi, dans la révolution d’un mot
    Dans tout le monde est …….
    Pour l’écrire
    Non…… ne jamais partir ………écoute- moi
    Puisque tous mes poèmes sont dédiés à toi








    Reine ;
    Dans les ruines d’Hippone
    Que ma pensée s’est épousée avec
    Les aromes du monde ancien
    Je l’ai vue dans un beau rêve
    La reine de SIDON
    …………… sur les volcans d’amour de mon cœur ………….
    Je l’ai vue, elle n’est pas comme d’habitude
    Elle est couverte par un nuage blanc
    Et sa couronne est sur sa tête
    O mon ami ;
    Elle est une couronne de ses roses
    Elle chante sur les sonores des meilleures symphonies
    Elle était la plus belle des reines
    Voir!!
    L’air de l’une des matinées du printemps souffle
    Pour que ses cheveux gris battent
    Comme les vagues et les murs de mon cœur……….
    Et il couvrit la terre par les fleurs
    Et que les oiseaux l’adorent
    O mon amour ;
    Aimez-moi
    Je vais te dessiner comme une rose d’été
    Qu’elle est …… entre les rayons du soleil
    Qu’elle est ………… sur le front d’apollon
    Que les gens ……….
    Mon amour
    J’ai besoin de t’embrasser, un baiser
    Pendu sur les murs
    Comme la vierge marie
    Ou un tatouage sur mon cœur
    Ou comme une chandelle
    Je la porte dans un jardin fleuri
    Dans l’une des nuits de cet hiver éternel
    Mon amour,
    Au nom de l’amour
    Que je me sens avec toi
    Détend –toi
    Et règne sur le trône de mon cœur
    Détache avec tes mains
    Ses clôtures ….
    Et lis –moi
    Quelque chose de tes mémoires,
    Je m’imagine dans tes bras
    Au sein d’une femme
    Qui a une beauté
    Qui a rendu les magiciens du pharaon
    Muets, et les bras croisés
    Mon amour!
    Tu es comme un rire d’un petit enfant,
    Agitant ses mains
    Pour l’illumination du monde
    Qui a commencé à le connaitre récemment
    Aimez-moi
    Prends-moi à ton monde
    Je vais dessiner de mes poèmes
    L’un des tableaux du destin
    Qui nous ont réunis
    C’est une histoire
    Qui elle ne veut pas être terminée mon amour















    Vision…………..
    Dans une des nuits
    D’un hiver chaud
    Je ferme les yeux
    Et, je me vois dans des rêves
    Comme les enfants
    Avec l’âme d’Aphrodite
    Je vole dans le fantasme du ciel
    Avec ton charme, Aphrodite!
    Je vous rappelle, et je vous en prie
    Pour mon amour
    Je suis perdu dans les trajets
    De la nature de la beauté
    Cherchant une femme
    Que je vois dans mes rêves










    Je l’ai vue
    Sur les sables du tassili
    Elle se promenait …… et marchait
    Laissant derrière elle des traces,
    Pour tous les esclaves de la beauté qui adorent la beauté
    Et, elle dessine par le sang de mon cœur
    Des peintures murales sur le Hoggar
    O mon âme, soupire
    Car tu ne vois pas cet ange avant
    Je l’ai vue
    Elle soupire avec ses seins
    Comme les bois de cerfs de l’eau
    Elle était dans une nuit mystérieuse
    Illuminée par deux lampes
    Elles sont deux yeux gris
    Leur beauté distille
    Comme les gouttes d’eau des roses
    Dans l’obscurité
    Qui a envahi l’espace
    Au-delà de la lune
    J’ai rêvé d’elle
    Je la regarde
    Et, je savoure devin de ses lèvres
    Je caresse son âme
    J’inspire sa brise
    Et nos comportements
    Dans cette rencontre ont frappé les fables ou
    Les légendes des amateurs
    Des rêves passés avant nous
    O Aphrodite
    Dans sa vision
    Elles ont ouvert les fenêtres de l’univers
    Par une musique douce
    Que je vois portée
    Sur les pattes des anges
    Elle récite les paroles de mon poème
    Sur les cordes d’un violoncelle d’or
    O, Aphrodite,
    Ceci est mon amour
    Et voilà ma vision










    « C’est …. Reine »
    Je ne sais pas où je vais terminer
    Et comment je vais terminer
    Mais, Mon amour
    Je sais d’où je vais commencer
    Je vais commencer par ce mot « je t’aime »
    Parmi les plus belles expressions
    De l’innocence des sentiments
    Parmi les plus belles paroles
    Dans le dictionnaire
    Qui sont trouvées,
    Sur le sommet du volcan Vésuve
    Pour mourir et vivre à la fois
    Ou mon amour devient
    De plus en plus rebellé
    Et, il éclate dans un baiser
    Dédié à toi









    Les misérables
    Ils marchèrent…aux enjambées dures…dans un long parcours…
    Ils tombèrent dans le désespoir,
    Que ceux sont obscurs,
    Ils ont des yeux nus, ou détenus du site,
    Et des cannes détruites,
    Ils ne quêtèrent jamais à connaître,
    Et que les histoires furent aigres,
    Et que ces dernières s’employèrent que pour les dédier aux tortures….
    La misère les censure sur cette terre….
    Ils baladèrent aux boulevards
    De l’inquiétude et les cauchemars ;
    Ils pleurèrent à cause des leurs sorts…
    Attends
    Une flache de lumière vient de dehors,
    La voix du muezzin se lève,
    La cloche sonne,
    La trompette s’exécute,
    Voyez-vous,
    Aucune personne n’écoute,
    Aucune personne ne croit,
    Aucune personne ne se concentre,
    Ils furent, les mesquins de cette ère,
    Ils furent joués par l’univers non-clair,
    Ils furent une goguenardise à la portée des gladiateurs,
    Or…
    Et qu’Il ne s’agit de personne eu égard aux les mettre en son humeur…


    Un esprit souffre…puis qu’il souffle…

    Sur le tison du feu, il s’installe,
    Lève ses mains vers le ciel,
    Un mirage d’oasis au Sahara qui brûle,
    S’impressionne en des récits des précédents siècles,
    Promenade aux banlieues urbaines et rurales,
    D’autant plus, URBI et ORBI ;
    C’est avec tous les genres humains,
    Personne ne lui connaît,
    Personne ne lui vient,
    Il entretient une langue qui est difficile à comprendre,
    Malgré,
    Ils se sont employés à elle sans savoir…
    Les gens et desquels regrets...
    Désorientés …occupés… … distraits
    Ses sois mêmes pour l’accepter…et puis pour l’adapter …
    Au dire de certain monde…
    Une fosse profonde…
    Ample des ténèbres où ici les vies des êtres existèrent…
    Idem, où là tous les beaux univers rassemblèrent….








    L’amour…où ma muse dans les broussailles du REINE….
    Les arbres des équinoxes chancelèrent…
    Et avec les sons de l’automne composèrent…
    Et ainsi de suite avec l’hiver…
    Poussèrent les chardonnerets pour qu’ils chantent…
    Telle une mélodie de la cloche de Notre-Dame…
    Vers ces beaux âges...
    Où il captive les mots de l’amour et avec elle,
    Il partage…
    Comme l’être qui vole entre la terre et le ciel…
    Il dit...
    Vient à moi,…une feuille du jujubier vierge,
    Nue des mauvais songes…tels le nuage…
    Vient,…afin que je te dessine entre les cèdres et les sapins…
    Et que je te prenne des portées du clergyman...
    Et je te lèverai, et puis je t’affaisserai pour un bisou à Aulnay…
    Chez une lune ne dégoûte jamais de frauder la lumière du soleil…
    Portant dans ma poche une musique des merveilles…
    Afin de te sculpter l’une des colonnes de BAALBEK…
    Vient…
    Pour que tu sois…pour que tu vives…comme si éternelle…selon le Pain de sucre…
    Une chanson exceptionnelle sur le théâtre d’ÉPIDAURE …
    Où tu ne serais guère au dehors de mon cœur…
    Ô mon amoureuse…
    J’ai fait un beau songe…à travers un ardent amour…
    Que nos cœurs prennent le même part dans l’amour…
    « Les pyramides ….MAYA…et …PHARAONS … !»
    Aussi bien que je cours avec les chevaux…pour gagner ton amour…
    Sans avoir le dessous…son essence comporte une ligne de poème d’amour…
    REINE…
    Offre moi un baiser…c’est une couronne à ma poésie…



























    Une phrase …dans...Un carnet favori….

    Avec les soucis que la vie a discuté…
    Avec la dignité des ères a argumenté…
    Avec la gloire des écritures célestes a récité…
    C’est une page, elle-même souffre…
    Pour la scruter dans son bouquin qu’elle préfère…
    Ce n’est guère …qu’un savoir-vivre avec l’amour de REINE…
    Par les maux des êtres, les contes, les paraboles, bref les ancêtres…
    Sur les quais des beaux-arts…
    Ce livre est ouvert…
    De la bibliothèque des combats qui le désespère…
    Qu’il est pris et avec un ancre gris….
    Ce bouquin était écrit…
    Pour humer les goûtes sombres…
    Ceci est dû à l’écartement de sa jolie phrase…
    Qu’elle est encore évoquée dans son livre…
    Singulièrement aux heureux moments du nègre…
    Selon les prestigieux hivers…
    Oui, qu’ils vont dire,
    C’est une locution célèbre,
    Laquelle :
    « REINE….rejoins-moi …c’est fortement que je t’adore… »






    Parmi des dons…

    Ils sont venus en ce monde extraordinaire...
    Une planche d’artiste peintre…
    Cossu par les couleurs…
    Une vie vacante des images de la verdure…
    Comme un bisou à la tête de la vierge…
    Comme une salutation du clergé…
    Comme un cher fils apparait à ses songes ;
    Volez par vos ailes…offerts par Allah…
    Telles clartés illuminent ton intervalle
    Que je vous partage…
    En ciel dont une lune sauvage
    Et des étoiles dispersent leurs maux…
    Idem ;
    Mes chéris, soyez cléments vers vous, comme si vous vous brisez avec l’air…
    Une feuille d’arbre d’olive envahie par la mélodieuse douceur…
    Et puis…
    Les stratus aiment la terre…
    Juste pour qu’ils offrent des eaux rares…
    Même si ils occupent ses demeures…








    Dans les coulisses….
    Aux bords des bouts…
    Ils s’assirent …à l’attendant…
    Plutôt, attendirent….
    Tels …désorientés…distraits… regardèrent….et…
    Prévirent leurs désirs …
    Ils ne surent plus ce qu’ils les attendirent ;
    Même celle-ci…
    Ils l’imaginèrent comme elle toujours unitaire ;
    Les signes de Dieu l’approchèrent…
    Si qu’elle fut au labour perpétuellement …
    Que c’en est assez, elle fut dominant…
    A travers tous les jardins …
    Elle fut promenant….
    Afin d’amasser, de produire de son corps des diverses bières…
    Si tu les bois, tu guériras….
    Des fardeaux de Dieu.
    Pourtant une chère mort est plus que cette existence…
    C’est au dire de cet être majeur…










    Le violent…
    Selon les ambiances passives…
    Selon les abondances affectives…
    Selon les musiques fictives…
    rare dans son ère…
    Dans les performances festives, ainsi que la renaissance …
    Une Influence par son fabricateur…
    Le monde dort, or elle éveille…
    A la recherche d’une part dans le cœur ;
    Captive…vas-y…
    Et renonce à tous les désordres…
    Abdique-toi …
    A la couleur du roux feu…
    Lis…
    L’une des prodiges de Dieu…
    Et récite un dit que tu partages…
    Ecris sur le port des rebellions …
    Comme le combat des trahisons…
    Départ avec la fiction telle une expression des poésies…










    Une perle ;

    Aux îles de la fiction,
    son fief était là,
    avec la mer il a discuté
    en feuilletant le coran
    en imaginant le pouvoir de Dieu
    dans ce vaste univers
    en narrant aux créatures
    les histoires des ancêtres
    c’est une perle
    abîmée dans la mer et que
    Son brillant éblouis
    Les fables des navigateurs
    Cherchant de la beauté éternelle
    Elle récite ses romanceros
    Au théâtre de CARTHAGO
    Un beau jour,
    Elle a aimé,
    Alors,
    Son clarté,
    ses charmes,
    son aimant,
    sont devenus plus forts
    pourtant ;
    Ô mer,
    garder tes flots
    afin qu’ils n’agacent pas les âmes,
    et tuent les cœurs,
    Cependant,
    les vagues restent festoyer
    et puis ce fut le bateau est abîmé
    et le point final de sa vie est mis.


























    Le sommaire

    TITRE page
    Dédicace 01
    Pour mon amour REINE 02
    J’ai un rêve 04
    L’autre femme de Socrate 05
    La liberté 06
    Le bisou de mon amoureuse REINE 07
    Le couple de deux jeunes canaris 09
    Ma jouvencelle … telle la blanche neige 10
    Martin Luther King 11
    Que porte la nuit 13
    Récits de l’amour 14
    Tout simplement je t’aime ma fleur… 15
    Un poème d’amour pour Reine 16
    Une lettre dans un poème 17
    Une transition longue…pour un voyage dur 18
    Pigeon perdu 20
    Hommage à mon amour à Reine 21
    Horizon 22
    C’est une écriture 23
    A mon amoureuse REINE 24
    L’artisto 26
    REINE et EROSTRATE 28
    Le bateau de mon amour 30
    J’avais besoin d’un bisou d’elle 32
    REINE 33
    Vision 36
    Je l’ai vue 37
    C’est …REINE 39
    Les misérables 40
    L’amour…où ma muse dans les broussailles de Reine 42
    Un esprit souffre …puis qu’il souffle 43
    Une phrase… dans …un carnet favori 44
    Parmi des dons 45
    Dans les coulisses 46
    le violent 47
    Une perle 48
    Le sommaire 49



    Un mot visé à ma reine ---Reine Sabti---
    **
    En déployant sur les sables de la vie, en unissant avec l’univers, les colossaux envies et désirs pour sortir de la nature.
    Recherche de la vérité et recherché pour lui…dans les cavernes des ancêtres, dans les profondeurs des mers, dans les oasis rares…
    Invariable, instable pareille à la rose des déserts ;
    Soit prudents !
    En ne considérant guère et à jamais qu’il y ait des barricades bleues ou rousses aux lettres afin d’aimer et vivre…
    Alors ;
    En combattant la peur,
    En trahissant le désespoir,
    En accompagnant les oiseaux et leurs airs,
    En prenant en angle d’amour,
    En effaçant les endroits de l’horreur ;
    Et en nous acheminant vers le bonheur. **
يعمل...
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